Johnny P. 03/02/2025

« La pétanque, un sport adapté aux handicaps »

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Johnny a commencé les compétitions de pétanque à l'âge de 16 ans. Cette année, il espère à nouveau être qualifié pour accéder à la finale.

La pétanque, ça m’aide à m’améliorer et à voir mes progrès. Il n’y a pas d’autres choses qui m’ont fait ressentir ça dans ma vie. Quand je joue, je suis très concentré, mais aussi très stressé. 

Cette année, j’espère pouvoir retourner au championnat de France à Bergerac. Mais il faut d’abord que je sois qualifié. L’année dernière, j’ai perdu en demi-finale à Saint-Étienne. J’ai été très déçu… Mais j’étais quand même content car une équipe de mon club a gagné la finale. En attendant, je fais des concours amicaux pour m’entraîner, pour ensuite passer les qualifications.  

Je connais ce sport depuis tout petit, mais j’ai vraiment commencé à jouer à 16 ans. Je fais beaucoup d’entraînements avec ma famille après le travail et avec mon club. En ce moment, je vais au club deux fois par semaine. Avant, j’y allais carrément tous les deux jours. 

La pétanque, ça peut être un sport adapté. Il y a beaucoup de personnes en situation de handicap qui y jouent. Je suis dans un club adapté, mais aussi dans un club classique. Je me suis inscrit dans les deux pour apprendre à jouer dans deux situations différentes. Ça m’aide à progresser et à mieux comprendre les règles et les stratégies. 

J’ai commencé les compétitions quand j’ai commencé à jouer sérieusement. Mes parents ne jouent pas beaucoup en ce moment, mais avant on jouait souvent ensemble. Ils ne faisaient pas de compétition mais ils s’y sont mis avec moi. Ce qui me motive pour aller en championnat, c’est de gagner la coupe ou la médaille, mais aussi de partager ce moment avec ma famille.

Johnny, 18 ans, en formation, Essonne

Crédit photo Unsplash // CC Michał Parzuchowski

 

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Objectif : intégrer l’équipe des valides, par Xavier, 25 ans. Joueur de handball dans une équipe adaptée, il n’a pas été accepté dans l’équipe senior avec des coéquipiers valides. Une décision qu’il ne comprend pas. Et qui le démotive.

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