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Un amour du foot et de grand-père
La passion de Gonçalo pour le foot trouve ses racines dans son enfance et son attachement à son grand-père.
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Une banlieusarde s’invite à l’Élysée
Meryam n’a pas froid aux yeux. Lors d’une première rencontre avec le président de la République et son épouse, elle a réussi à faire en sorte que sa classe soit à nouveau invitée à l’Élysée.
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Du tennis à tous les repas
Alice aimerait arrêter le tennis, mais son père désapprouve. Elle s’est beaucoup investie dans ce sport pour lui, et a peur de le décevoir aujourd’hui.
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Au-delà des préjugés dans un centre social
Inah, 19 ans, n’était pas enchantée à l’idée de devoir faire un bénévolat obligatoire avec des enfants dans un quartier populaire. Après des débuts difficiles, elle est parvenue à créer des liens privilégiés avec eux. Et à attendre chaque séance avec impatience.
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L’école ou la danse
Depuis son entrée au lycée, Luna hésite à arrêter la danse, sa passion et soupape de décompression. Plus le bac se rapproche et plus la pression des profs et de ses parents est forte.
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Quand l’école s’invite à tous les repas
Pour Hélène, les devoirs et les évaluations sont synonymes d’angoisse. Elle subit la pression de ses parents, qui parlent constamment de ses résultats. Elle a le sentiment de passer à côté de sa vie.
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« Je profite de l’école pour faire un max de sports »
Saloua aime le sport. Faute de moyens financiers, elle doit compter sur l’école pour en pratiquer.
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Tel père, telle fille
Eva et son père ont construit leur relation sur les terrains de tennis et dans les tribunes des grands tournois internationaux.
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À l’IMPro, plein de sports et de souvenirs
L’IMPro est un établissement destiné à former les jeunes en situation de handicap à des métiers dans le bâtiment, en jardinage, espace vert, bureautique ou restauration. Des enseignements scolaires ainsi que des activités sportives y sont dispensés. Colin y a pratiqué de nombreux sports : du tennis au basket en passant par la natation !
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Quand danse rime avec bienveillance
En rencontrant une professeure de danse très à l’écoute de ses jeunes élèves, Ana Clara a pu mesurer le fossé entre cette méthode, douce, et celle de sa professeure de conservatoire, sévère et cassante.
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« Ma joueuse préférée, c’est Melissa Vargas »
Zibidi ne jure que par Melissa Vargas, joueuse de volley-ball turque. Comme elle, la lycéenne rêve d’exceller dans son sport, le basketball.
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« Je joue au basket avec ma tête »
Quand il joue au basket, Sayeh mise sur ses capacités défensives. Une stratégie adaptée à son handicap, et développée en jouant avec des valides.