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Prendre soin de ses aînés
Pour Karim, s’occuper des plus âgés, c’est sacré. Le jeune homme fait tout son possible pour aider ses parents et perpétuer la solidarité familiale.
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Des poupées pour affronter ses démons
Lilith, 21 ans, a une passion pour les poupées. Pour la jeune femme, sa collection est un refuge.
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Seule, pour mieux respirer
Mahawa, 18 ans, a toujours été différente dans sa façon d’être avec les autres. Hypersensible, elle perçoit tout plus intensément. Loin de l’agitation sociale, elle a trouvé son équilibre dans une solitude choisie.
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Continuer le lycée malgré le cancer
Nina venait d’entrer au lycée quand elle a appris être atteinte d’un cancer. Contrainte de rester chez elle, l’adolescente a pu continuer certains de ses cours grâce à l’école à domicile.
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Perdre son frère avant sa mort
Abdou et son frère aîné était en froid quand ce dernier s’est suicidé. Un deuil lourd de conflits non résolus. Petit à petit, l’adolescent trouve une forme d’apaisement.
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Un an d’entraînement pour percer
Amara s’est donné un an pour intégrer un centre de formation de football. Son rêve : faire partie des grands.
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« Des bains de sang pour soigner l’épilepsie »
Khadija souffre d’épilepsie. Sa mère l’a envoyée chez sa marraine au Sénégal où elle a subi des rituels mystiques censés lui permettre de guérir. En vain.
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« Je ne vais pas me cacher toute ma vie ! »
À 14 ans, Zaineb a déjà vécu une expérience traumatisante de sexualisation de son corps d’adolescente. Elle refuse malgré tout de se plier aux injonctions sociales et familiales de dissimulation.
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« On se tirait vers le bas »
Sarah se souvient de l’influence que son groupe d’amies a eu sur elle. Elles et ils lui manquent mais elle ne regrette pas de les avoir quittées.
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Trouble peine
Romain a des troubles de l’apprentissage. Ses parents se sont battus pour qu’il soit accompagné dans sa scolarité. Bac mention bien en poche, il s’est rêvé infirmier. La réalité l’a contraint à changer de voie.
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L’ombre d’un père absent
Faith n’est pas proche de son père. Ni géographiquement, ni émotionnellement. Pour elle, c’est la raison pour laquelle elle se méfie des hommes.
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« En France, je me sens vraiment chez moi »
Wajeeha est arrivée en France il y a trois ans avec son mari après avoir été enseignante à Oman. Si elle espère retravailler un jour ici, elle apprécie tout de même beaucoup sa nouvelle vie.