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« Le sport, c’est ma bulle »
La pression et un coach « aigri » ont eu raison de la passion d’Elya pour le foot. Après une pause à s’essayer à des sports plus individuels, la collégienne, qui a de l’énergie à revendre, songe à trouver un nouveau club.
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« Ma saison était finie »
Andy joue au rugby depuis l’âge de 7 ans. À 14 ans, en passe d’atteindre le niveau élite, il a dû s’arrêter de pratiquer à cause d’une pubalgie. Devenu spectateur de son équipe, il se fait une raison.
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Entre les cahiers et les crampons
En plus des fournitures scolaires, Elohim trimballe ses affaires de foot au collège. Avec les entraînements et les heures de trajet, il lui est parfois difficile de maintenir son niveau en classe.
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Changer d’air pour la première fois
Partir en vacances, pour Medhi, ce n’est pas si courant. Il se rappelle précisément des quelques voyages qu’il a eu l’occasion de faire et se sert de ces beaux souvenirs pour rêver en attendant le prochain.
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Témoin du trafic en bas de chez lui
De son balcon, Djibril est aux premières loges pour observer discrètement les dealers, les guetteurs et les descentes de police. De là, il rêve de pouvoir descendre dans la rue sans avoir peur.
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On se rase et on se casse !
À travers l’histoire de ses cheveux, longs et coiffés tendrement par sa mère, puis rasés, Rachel, 22 ans, raconte ce que signifie « être une femme », pour elle et dans sa famille.
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Une famille d’accueil en or
Abandonné par ses parents à la naissance, Elias, 18 ans aujourd’hui, a été accueilli par une super famille. L’épreuve de l’abandon a renforcé ses liens avec ses frères de sang.
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Comme des frères et sœurs à la MECS
Enfant placée, Marie vit dans une Maison d’enfants à caractère social et a peu de contact avec sa mère. C’est là qu’elle a tissé des liens « plus forts que ceux du sang » avec sa grande sœur de cœur. C’est là aussi qu’elle prend soin des plus jeunes.
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Le grand huit émotionnel d’un jeune futur père
Jordan, 26 ans, est l’heureux père d’un garçon de sept mois. Il revient sur la grossesse de sa copine. Entre excitation et anxiété.
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« Enfin à ma place »
Entre les regards, les moqueries et les mises à l’écart à caractère raciste, Souleymane a toujours dû prendre sur lui. Grâce au 77 à vélo, il a enfin trouvé sa « safe place ».
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« J’étais avec des gars de Noisiel, Champs, Torcy »
Yanis connaissait quelques gars des villes voisines mais ne leur avait jamais vraiment parlé. Entre les heures passées à suer en pédalant et les soirées bowling, il a appris à mieux les connaître, petit à petit.
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« Le vélo, c’est vraiment physique ! »
Ismo a sous-estimé la difficulté du vélo. Ce n’est qu’après la première destination, à 70 km du point de départ, qu’il a réalisé que ça n’allait pas être une mince affaire.