Précarités

En 2017/2018, les journalistes de la ZEP ont accompagné quelque 300 jeunes pour les aider à raconter des situations de précarités sociales ou intimes. Ce projet est le premier volet d'une trilogie de récits de jeunes Parisiens et Parisiennes.

Pour accompagner la sortie du film Un jour ça ira, qui raconte le parcours d’écriture d’adolescents dans un centre d’hébergement d’urgence, nous nous sommes associés avec la Mairie de Paris pour proposer à 300 jeunes Parisiens d’écrire sur les précarités telles qu’ils les vivent, telles qu’ils les voient.

La jeunesse est un temps précaire, une période d’incertitudes quant à l’avenir proche ou lointain, le moment où tout bouge, tout se construit… mais aussi se délite. Les précarités dont nous parlent ces enfants, ces adolescents ou ces jeunes adultes, et dont ils sont les témoins ou les victimes directes, se déclinent sous des registres multiples. Ce sont les précarités sociales qui touchent les territoires de la ville, le mal-logement ou encore les parcours d’exil. Ce sont aussi les précarités plus intimes qui se vivent à l’école et dans la famille. Ces situations suscitent des réactions fortes, des actes de révolte et de solidarité pour les enrayer.

Ces témoignages ont été élaborés dans nos ateliers d’écriture entre octobre 2017 et janvier 2018 avec des jeunes Parisiens et Parisiennes dans des collèges, des lycées, des écoles de la deuxième Chance, des foyers de l’aide sociale à l’enfance et des structures d’accueil de jeunes migrants.

Ce recueil qui les rassemble est le premier volet d’une série de récits de jeunes qui se décline en deux autres thématiques : les frontières et les amours.

La publication Précarités est à télécharger ici

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