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Enfin autorisée à être végétarienne
Mona réalise très jeune qu’elle est végétarienne. Sauf qu’elle vit dans une famille où la viande, c’est quasiment à chaque repas.
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Mon trouble alimentaire, j’ai appris à vivre avec
Manger, c’est devenu un calvaire pour moi. Mais ne plus m’alimenter, ça m’a éloignée de mes proches. Alors, je réapprends, petit à petit à, à manger avec mes amis et ma famille…
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Je suis végétarienne et ma famille ne comprend pas
Anne-Sophie est végétarienne depuis deux ans. Ce qui n’empêche pas sa famille de continuer à lui proposer de la viande à tous les repas.
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Le végétarisme, mon choix bien assumé !
À l’encontre des clichés autour du végétarisme, je vis très bien mon choix d’alimentation. Je vous livre même des idées recettes pas chères !
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Végétarienne entourée de carnivores, mission impossible ?
Ne plus manger de viande, pour Sarah, c’est un choix sérieux. Mais face à son entourage « pro-viande », elle a du mal à l’assumer.
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Chez moi on n’est pas des écolos, on est juste normaux
Mes parents m’ont sensibilisé, je me suis informé. Je trie mes déchets et évite de manger au McDo. Je ne veux pas continuer à, inconsciemment, détruire la planète. L’écologie, une question d’éducation ?
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Non, je ne suis ni anorexique, ni boulimique, ni dépressive…
A 15 ans, on l’a gavée de médicaments, jugée anorexique. De plus en plus en colère, indignée par son traitement, un éducateur a réussi à la sortir du trou.
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Et si on mangeait ensemble ?
Je suis arrivée en France il y a trois ans, pour mes études. J’ai mis du temps à m’intégrer, à me faire des amis. Aujourd’hui, j’aimerais apporter un peu de chaleur et de convivialité dans la vie des gens. Et si cela passait par des repas partagés ?
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J’étais un poids « lourd »
Suite à des problèmes familiaux, j’ai pris du poids. Beaucoup de poids. J’ai mis du temps à accepter mon corps, mais l’amour m’a fait remonter la pente. En m’aimant, mon ancien copain m’a appris à m’aimer.
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À la cité, elles veulent toutes ressembler à Beyoncé
Le poids parfait, la taille parfaite, le corps parfait… Les publicités ont de quoi faire complexer Sarah.
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De l’autonomie au moment de passer à table…
L’autonomie, à 21 ans, ça fait rêver, mais quand on quitte le cocon familial, il faut faire face aux galères (surtout pour manger !). C’est ce que j’ai vécu quand je suis partie de Perpignan pour habiter sur Paris pour mes études.