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Je ne suis pas maniérée comme les autres filles
Lee se réjouit d’avoir eu une éducation non-genrée. Le comportement des filles de son âge, façonné par la société patriarcale, l’exaspère.
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Sport de combat : j’ai mis les garçons au tapis
En commençant le taekwondo, les garçons la traitaient différemment. Sa force n’a rien à voir avec son genre : elle est la meilleure du club !
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Dans mon quartier, les filles n’ont pas le droit de cité
Dans le quartier d’Awa, chaque genre est à sa place. Les garçons s’approprient la rue tandis que les filles doivent se faire toutes petites.
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Mon quartier c’est ma deuxième maison
J’habite dans une cité parisienne. Et mon quartier, c’est ma famille : je l’aime, sans trop savoir pourquoi. Un ensemble de petites choses du quotidien…
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Pour la police, les filles ça fait pas de conneries, donc pas de contrôles !
Pourquoi mes copains garçons se font-ils fouiller par la police et pas moi ? Les filles n’auraient-elles jamais rien à se reprocher ?
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Une classe, 22 mecs et une fille, moi…
Dans sa classe de seconde pro, je suis la seule fille. Si je me sens parfois isolée et n’aime pas les remarques sexistes de mes camarades, je ne regrette pour autant pas mon choix.
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« T‘es genre une fille ET un garçon ? »
Avec ma coupe de cheveux courts, ma façon d’être et de m’habiller, je mets à l’épreuve les clichés qui, au collège, font les frontières entre garçons et filles.
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En bac pro, je suis la seule fille dans une classe de garçons
Passée d’une pension catholique où je n’étais qu’avec des filles à une classe de lycée pro composée exclusivement de garçons, j’expérimente la dure réalité des univers hyper genrés.
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VIDÉO – Ma première fois avec une fille c’était…
Gênante, bizarre, naturelle ou encore à découvrir, la première fois, tout le monde s’en souvient ! Nous, lycéens de Cormeilles-en-Parisis évoquons ce moment.
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Mes 14 ans au Nigéria, bientôt mes 15 ans à Paris
J’ai quitté mon pays, le Nigéria, sans rien dire à personne. Arrivée en France, j’ai dû apprendre le français, « la langue la plus difficile du monde ». Aujourd’hui hébergée dans un foyer de jeune fille, je suis contente : mes efforts paient !