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« La K-pop, ma safe place »
En faisant partie des fans de boys band coréen, Pelin a gagné une amie précieuse. Elle estime que les messages véhiculés par cette musique jouent positivement sur sa santé mentale. Au point de s’être lancée dans l’apprentissage de la langue de ses idoles.
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Fandom K-pop, une deuxième famille
Lalisa a découvert la K-pop au début de sa dépression. La jeune femme a trouvé du soutien en se rapprochant d’autres fans de ce genre musical.
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« Ma fille voulait être “ idol ” »
Sandra a commencé à se passionner pour la K-pop avec sa fille Angélina, aujourd’hui décédée. Elle vit son deuil dans le respect de la culture coréenne et envisage même un voyage en Corée du Sud, comme sa fille aurait aimé le faire.
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La K-pop, ma communauté engagée
Quand Stigma a découvert la K-pop, elle a aussi rencontré une communauté LGBTQIA+ et antiraciste, devenue une vraie famille pour elle.