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Maquiller ses scrupules
Les réseaux sociaux et ses contenus poussent Maria à la surconsommation. Elle additionne les produits cosmétiques dont elle n’a pas toujours l’utilité.
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Je voulais être « la plus belle »
Enfant, Amandine surveillait déjà son poids et comptait les calories. Puis, un jour, elle n’est plus sortie de chez elle sans se maquiller.
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Soigner mon apparence, c’était « naturel »
Lisseur, parfum, mascara… Au début de l’adolescence, Maëlys s’est entourée d’objets pour se sentir belle. Petit à petit, et sans contraintes.
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Me saper pour mieux m’accepter
Raphaël a dépassé ses complexes en jouant avec les vêtements de sa sœur et un peu de maquillage. Depuis, il « brille ».
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Je suis une fille, donc je me maquille ?
Au lycée, Gabrielle s’est sentie obligée de se maquiller pour faire comme les autres filles. Depuis, elle ne peut plus s’en passer.
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Ma féminité n’a plus besoin de mascara(de)
Après l’adolescence, j’avais oublié à quoi ressemblait mon visage naturel. Aujourd’hui, je ne me maquille plus : fière de mon visage et de qui je suis.