-
À Calais, des exilés, des assos et moi qui m’engage
Passer sept semaines à Calais auprès des migrants et des associations qui leur viennent en aide m’a conforté dans l’idée qu’il était absolument nécessaire de m’engager.
-
Sur ma route, mon amour du foot m’a permis de rencontrer des gens
Du Tchad à la France en passant par l’Italie, j’ai beaucoup bougé et beaucoup joué ! Dans tous ces nouveaux lieux où j’habitais, le foot me permettait de sociabiliser.
-
J’ai été violée après avoir fui un mariage forcé
Pour m’éviter un mariage forcé, ma mère m’a fait quitter la Guinée. Sur mon chemin pour la France, un homme m’a fait du mal.
-
À la fac, je me suis mise à militer !
En étudiant à Paris, Elsa a découvert le militantisme, l’engagement politique, la camaraderie. Un passage à l’acte essentiel qui lui permet d’assumer et défendre ses idées.
-
Sur la plage… avec les migrants
En Sicile, j’ai découvert la réalité des arrivées de migrants sur des plages qui accueillent d’habitude des vacanciers.
-
Des crochets et des voyelles, mon aide aux sans papiers
À Paris, au fond d’un petit local, cours de boxe et cours de français s’enchainent. Jeunes militants et jeunes immigrés se croisent. À force, j’ai décidé de les aider.
-
J’ai organisé des maraudes pour les migrants
Alors que j’organisais une maraude pour aider les migrants de Porte de La Chapelle, les CRS m’ont bloqué moi et mes potes. J’ai quand même trouvé le moyen de distribuer fringues et kits d’hygiène… et pris le temps de faire des rencontres !
-
En découvrant un camp de migrants, je me souviens de ma mère
Mon père est photographe. À l’occasion d’un projet sur la migration, il m’a emmenée dans un camp de migrants à Saint-Denis… Une visite qui me ramène à ma propre histoire familiale.