-
13 Novembre – Sept ans après
La ZEP vous propose de (re)découvrir les témoignages écrits par des jeunes de Seine-Saint-Denis en 2015, quelques jours après ces attentats qui ont changé nos vies.
-
Mon rêve de vie, c’est Paris !
Lola a toujours vécu près de Marseille, mais pour son avenir et son indépendance, elle n’a qu’un seul rêve : Paris.
-
Parisienne, je veux changer de mode de ville
Prise dans le rythme parisien, j’ai toujours eu peur de ne rien faire, de ralentir. Et puis le confinement m’a donné le temps de repenser mon mode de vie.
-
Entre Paris et la banlieue, la rivalité est dans les clichés
Quand je vais sur Paris avec mes potes, ça ne passe pas. Vêtements, langage, les Parisiens ont des préjugés sur la banlieue. Mais, nous aussi non ?
-
« Viser haut » ne veut pas dire viser Paris !
À Paris pour mes études, j’ai eu le sentiment de devoir mettre de côté ma sensibilité pour avancer. Rencontrer des modèles de réussite dans lesquels je me reconnaissais m’a permis de m’affirmer. Et de trouver ma voie. Fini Paris !
-
Faire mes études à Paris, j’en reviens…
Blandine a quitté sa Vendée natale pour étudier à Paris. Elle s’est vite rendue compte que la vie dans la capitale ne lui convenait pas.
-
Oh les Parisiens, je vais vous expliquer la vraie campagne !
Capucine a grandi dans un village de 3 000 habitants. Étudiante à Paris, elle a joué au jeu des différences entre sa vie dans une grande ville et la campagne.
-
Riches, pauvres, bobos, prolos, mes Panames !
Nina, 14 ans, vit dans le 20ème arrondissement de Paris. Elle pose un regard sociologique sur les quartiers de sa ville.
-
Étudier à Paris, c’est découvrir un autre monde
J’avais vécu dans une petite ville de province avant de débarquer à Paris pour mes études supérieures. Le rythme qui s’accélère, les gens, les quartiers… Tout est différent et ça me plaît !
-
Un banlieusard dans une prépa parisienne
Banlieusard venant d’une ville populaire, Noâm a vécu son passage dans une classe prépa parisienne comme un décalage douloureux, mais aussi un moment d’ouverture essentiel.
-
Paris – Marseille, la battle
Parisienne, je passe toujours mes vacances à Marseille. Et chaque année c’est l’affrontement : foot, musique, culture, tout y passe !
-
Je défends les limites de mon quartier
J’ai grandi dans le 95, je connais mon quartier par coeur. Le périmètre est précis, les têtes connues sont appréciées, mais les intrus se font vite dégager : depuis plusieurs générations, les jeunes du quartier défendent leur territoire.