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VIDÉO – Banlieusard en prépa, le choc des classes
Un banlieusard n’a rien à faire en classe prépa. Voilà ce que j’ai toujours entendu… Aujourd’hui diplômé, je suis bien décidé à prouver le contraire.
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Ma prépa, deux années de dépassement de soi
Des connaissances à la pelle, des élèves qui s’entraident et des admissions à la clé ? C’était dur, mais la Khâgne, c’est sans regret !
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En prépa, trop de pression : je suis tombée de haut
Céline a toujours aimé étudier, apprendre. Mais pression, bachotage, crises d’angoisse… Elle n’a pas tenu un mois en prépa.
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J’ai craqué en prépa au bout d’un mois
Poussé par une prof et appuyé par mon entourage, j’ai tenté une classe prépa en hypokhâgne dans un lycée parisien hyper sélectif. Je n’ai pas tenu plus d’un mois. Mais j’ai finalement trouvé ma voie.
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Un banlieusard dans une prépa parisienne
Banlieusard venant d’une ville populaire, Noâm a vécu son passage dans une classe prépa parisienne comme un décalage douloureux, mais aussi un moment d’ouverture essentiel.
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Classe prépa : je suis une racaille d’élite
Noire, venant du Val d’Oise et arrivée en prépa dans le 16e arrondissement de Paris, Marie-Ange a été confrontée à la puissance des clichés.