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La place de la femme, c’est pas dans la cuisine
Dans la famille d’Imene, les hommes décident. Pour eux, la femme doit être une bonne ménagère pour être bonne à marier. La lycéenne ne veut pas de ce destin.
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La charge mentale avant de partir en voyage
À 59 ans, Brigitte a fait son premier voyage en Inde pour aller voir sa fille. Elle a dû tout anticiper pour que la maison tourne sans elle pendant ses dix jours d’absence.
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Un CDI de « petite maman »
Face aux épreuves de la vie et pour aider sa mère, Marie-Louise a dû s’occuper de son petit frère. Laissant de côté l’adolescence et ses découvertes.
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À la maison, je suis responsable de tout
Chez elle, Sara s’occupe de ses quatre sœurs, du ménage et des repas pour toute la famille. Au détriment de ses études, sa vie et sa liberté.
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Je me suis oubliée pour ma sœur malade
Quand la maladie de sa sœur jumelle s’est déclarée, Camille a vu sa mère s’épuiser. Ses responsabilités se sont multipliées.
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« C’est bon ! Tes amies peuvent attendre »
Alors que ses frères pourraient s’en charger, Mary-Kate se tape toutes les tâches ménagères, à 14 ans. Et elle en a marre !
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« C’est ça, tu travailles… Allez, viens m’aider »
Sur ordre de sa mère et de son beau-père, c’est Zazou qui gère une grande partie des tâches ménagères à la maison. Alors ses notes, ses projets et sa santé passent au second plan.
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« Deuxième papa », c’est mon rôle d’aîné
Quand son père est absent, Karim prend son rôle d’aîné très à cœur : il devient le bras droit de sa mère et prend soin de sa famille.
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Ma mère malade, c’est moi l’adulte
Obligée de prendre soin de sa mère malade, Angelina a pris, très jeune, un rôle d’adulte. Elle a décidé de couper les ponts pour pouvoir s’épanouir.
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Chez moi, les femmes font tout et les hommes s’en foutent
Je n’ai que 17 ans, mais le sexisme, je le connais déjà trop bien. À la maison, les hommes et les femmes de ma famille m’ont assignée à une place qui ne me convient pas.
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« Confinée avec ton père ? Ça se passera bien, si j’ai pas de cerveau. »
Quand je discute avec ma mère, je comprends que pour elle, tenir le confinement, c’est accepter de faire des concessions sur sa charge mentale avec mon père…