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Avec les surveillants de prison, ça passe ou ça casse
Condamné à huit ans de prison, Abdou a côtoyé de près les surveillants : ceux qui allègent le quotidien… et ceux qu’il vaut mieux éviter.
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En entrant en détention, il a fallu s’imposer
Confronté à la prison et à ses codes, Esteban a dû gagner la confiance de l’administration. Il a finit par côtoyer les détenus « stars ».
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Bracelet électronique : dehors, la prison me suit encore
Sa peine aménagée, Berry goûte de nouveau la liberté, sous conditions. Son bracelet lui rappelle la détention, comme ses habitudes de prison.
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À Fresnes, paye tes conditions de détention…
Manque de douches, cafards, matelas en béton… Arnold a connu des conditions de détention inhumaines à Fresnes.
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En détention, il faut que je reste fort car j’ai une famille dehors (9/9)
À 20 ans, je purge une peine de quatre ans en prison. Dehors, ma femme, mon enfant, ma maison, ma vie de famille m’attendent. C’est ce qui me fait tenir.
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C’est le gars de la cellule d’à côté qui me fait à manger (8/9)
À 19 ans, je suis en prison depuis un an. Les repas sur place ne sont pas à mon goût. Mais je peux compter sur les détenus voisins qui cuisinent.
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Dans ma cellule, je n’ai plus la télé, mon seul moyen de « m’évader » (7/9)
En détention, je n’ai plus la télé dans ma cellule depuis trois jours. C’était mon principal moyen de penser à autre chose.
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La prison, j’y ai vu la chance d’apprendre un métier (6/9)
Incarceré à Fleury-Mérogis à 22 ans et sans formation, j’y ai vu l’opportunité d’étudier et d’apprendre un métier. Et j’ai fini par obtenir mon diplôme !
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A Fleury-Mérogis, y a pas mal de choses à améliorer en détention ! (5/9)
Détenu à Fleury-Mérogis, je considère que la prison ne prend pas assez soin des prisonniers. Niveau santé, hygiène, ou accueil des enfants de détenus.
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Je « snape » ma vie en détention, je montre ma vie à Fleury-Mérogis (4/9)
À 21 ans, je suis en détention à Fleury-Mérogis. Pour m’y confronter, malgré le risque, je me suis procuré un smartphone avec lequel je peux « m’évader ».
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Voir ma famille au parloir, c’est une double peine (3/9)
Détenu dans la prison de Fleury-Mérogis, je n’aime pas l’idée que pour voir ma famille, celle-ci doit se confronter à ma vie carcérale. Surtout au parloir !
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22 heures sur 24 en cellule, c’est la première et dernière fois (2/9)
Détenu, ma découverte du monde carcéral a été difficile : le changement de vie, les relations avec les détenus… et la cellule toute la journée.