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« Ma joueuse préférée, c’est Melissa Vargas »
Zibidi ne jure que par Melissa Vargas, joueuse de volley-ball turque. Comme elle, la lycéenne rêve d’exceller dans son sport, le basketball.
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Apprendre à cogner à la boxe thaï
Fan de MMA, Emma ne se sent pas prête à pratiquer ce sport. Elle compte se mettre à la boxe thaï pour canaliser son énergie et savoir se défendre.
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« Pour ma mère, les sports de combat, c’est pas féminin »
Quand Nelya a commencé à s’entraîner intensivement et à parler de devenir boxeuse, en CM2, une dispute a éclaté avec sa mère et son cousin. L’orage passé, Nelya a fini par se lasser de la boxe. Comme de tous les autres sports qu’elle a pratiqués.
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« Je ne veux pas de mixité dans mon sport »
Adriana s’est mise à la boxe, encore souvent considéré comme « un sport de garçons ». S’il ne fait aucun doute pour elle que les filles aussi peuvent boxer, elle préférerait toutefois pouvoir s’entraîner entre femmes. Surtout depuis une mauvaise expérience.
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Courir vers la confiance en soi
En cours d’EPS au collège, Catrine était persuadée de ne pas être sportive. Quand elle s’est mise à courir, pour elle, la donne a changé.
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Interdite de « sports de gars »
Depuis son adolescence, Amy subit la méfiance de ses parents à l’égard du sport, qui musclerait trop les corps féminins, selon eux. Ils sont originaires de Côte d’Ivoire, où la rondeur des femmes est synonyme de bonne santé.
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Foot féminin : un rêve empêché
Dans le collège de Zamina en Haïti, le foot était réservé aux garçons. À défaut de pouvoir jouer, elle est devenue une supportrice passionnée.
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« Que des mecs brusques et bordéliques »
Allan est le pivot d’une fratrie de six garçons. Le collégien trouve que sa maison manque de filles… et de douceur.
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Ni foot, ni short pour les filles
Land a grandi en Haïti. Les filles y sont beaucoup à la maison, et n’ont pas le droit de faire les mêmes sports que les garçons. Alors elle est devenue « contre le foot pour les filles », même si secrètement, elle rêvait de jouer.
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Je veux qu’on nous croie quand on raconte ce qu’on vit
Logan a été victime d’attouchements par son chef. Né assigné « elle », il décide alors de se genrer avec le pronom « il ».
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Appelez-moi Ben
Le monde de Ben s’est écroulé le jour où sa meilleure amie est décédée. Dans les décombres, il a découvert sa transidentité.
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Grâce à mes amis queers, je m’assume
La non-binarité d’Axel est parfois mal acceptée par ses profs, les autres élèves et ses parents. Grâce à son groupe d’ami·es queer, iel sait qu’iel est légitime.