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« Je ne veux pas de mixité dans mon sport »
Adriana s’est mise à la boxe, encore souvent considéré comme « un sport de garçons ». S’il ne fait aucun doute pour elle que les filles aussi peuvent boxer, elle préférerait toutefois pouvoir s’entraîner entre femmes. Surtout depuis une mauvaise expérience…
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Courir vers la confiance en soi
En cours d’EPS au collège, Catrine était persuadée de ne pas être sportive. Quand elle s’est mise à courir, pour elle, la donne a changé.
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Interdite de « sports de gars »
Depuis son adolescence, Amy subit la méfiance de ses parents à l’égard du sport, qui musclerait trop les corps féminins, selon eux. Ils sont originaires de Côte d’Ivoire, où la rondeur des femmes est synonyme de bonne santé.
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Foot féminin : un rêve empêché
Dans le collège de Zamina en Haïti, le foot était réservé aux garçons. À défaut de pouvoir jouer, elle est devenue une supportrice passionnée.
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« Que des mecs brusques et bordéliques »
Allan est le pivot d’une fratrie de six garçons. Le collégien trouve que sa maison manque de filles… et de douceur.
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Ni foot, ni short pour les filles
Land a grandi en Haïti. Les filles y sont beaucoup à la maison, et n’ont pas le droit de faire les mêmes sports que les garçons. Alors elle est devenue « contre le foot pour les filles », même si secrètement, elle rêvait de jouer.
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Je veux qu’on nous croie quand on raconte ce qu’on vit
Logan a été victime d’attouchements par son chef. Né assigné « elle », il décide alors de se genrer avec le pronom « il ».
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Appelez-moi Ben
Le monde de Ben s’est écroulé le jour où sa meilleure amie est décédée. Dans les décombres, il a découvert sa transidentité.
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Grâce à mes amis queers, je m’assume
La non-binarité d’Axel est parfois mal acceptée par ses profs, les autres élèves et ses parents. Grâce à son groupe d’ami·es queer, iel sait qu’iel est légitime.
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Afghanistan : trop peur pour aller à l’école
Quand Nazla était petite, c’était mal vu que les filles aillent à l’école. Aujourd’hui, depuis le retour des talibans au pouvoir, elles n’ont carrément plus le droit d’étudier après l’école primaire.
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Je m’épile pour être « présentable »
Sasha le sait bien : ne pas s’épiler, c’est ok ! Mais quand il s’agit des poils sur son corps, c’est une autre histoire…
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Pas dans les critères, pas sur les photos
Sabrina a grandi avec les moqueries de sa famille sur son physique. Aujourd’hui, elle ne veut plus qu’on poste des photos d’elle.