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Genderfluid·e : c’est quoi tes pronoms ?
Lydia/Mel se définit comme genderfluid·e et jongle entre les pronoms « elle », « il » et « iel » au quotidien.
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Je m’inscris à Louis-le-Grand dans le dos de mes parents
Elisa rêve d’étudier au lycée Louis-le-Grand, un prestigieux lycée parisien. Mais face au refus de ses parents, elle doit mentir et s’inscrire en cachette.
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Nouvelles coupes, nouveaux moi
Longs, rasés ou rouges, les cheveux de Jade ont évolué avec elle et l’ont accompagnée dans ses questionnements sur son genre.
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Saoulée par le dress code de mon quartier
Dans son quartier, d’après Marwa, la liberté vestimentaire n’existe pas. Elle rêve de Paris : être dans une grande ville, anonyme, et explorer son style.
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Ici, ça parle « charos » et « tchoins »
Dans le quartier de Bell, difficile d’éviter les charos, ces gros dragueurs. Difficile surtout que les filles ne soient pas jugées.
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J’aime autant la mode que les jeux vidéo, et alors ?
Maxence et le frère d’Anaïs ne se reconnaissent pas dans les modèles de masculinité normée. Ne pas s’y conformer leur a valu remarques et moqueries. Maxence a profité du confinement et de ses années lycée pour exprimer son genre à sa manière, tandis qu’Anaïs veille sur son petit frère de 10 ans pour que, lui aussi, s’épanouisse.
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Mon genre, mes choix
À quel genre je m’identifie ? Comment je l’exprime ? Quel comportement j’adopte face à ce qu’on « attend » de moi ? Deux lycéen·ne·s racontent comment iels apprennent à affirmer leur genre.
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1 m 75, pour une fille c’est trop ?
Fatou a toujours été la plus grande à l’école. Longtemps, sa taille l’a complexée, jusqu’à ce qu’elle en fasse un atout.
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Mon coming-out grâce à mon crop top
En portant des crop tops, Camille a réussi à faire son coming-out auprès des élèves de son lycée. Des vêtements qu’iel laisse au placard une fois rentré·e à la maison.
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Sample, le podcast – Y a pas de garçons manqués, y a que des filles réussies
« Garçons manqués », pas assez « féminines », mais c’est quoi la féminité ? Nathalie, Tess et Yasmine en repoussent les limites pour casser les normes.
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Pendant 40 ans, j’ai fait un déni d’autisme
Il a fallu attendre la quarantaine pour mettre un mot sur mes maux : l’autisme. Un diagnostic tardif… parce que je suis une femme. Je l’ai vécu comme une libération.
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Je suis fier d’avoir reçu une éducation non-genrée
La famille de Pablo lui a toujours dit de faire ses choix sans se soucier de son genre, malgré les remarques sur ses vêtements ou ses goûts.