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Pour les autres, je suis « l’efféminé »
Cible de remarques homophobes depuis son enfance, Jordan pensait que la filière mode serait un milieu plus tolérant. Il s’est vite rendu compte que ce n’était pas si simple…
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VIDÉO – Gay, banlieusard et fier
Haron a mis longtemps avant de s’assumer, là où il faut se battre pour être considéré comme un homme, et où la virilité est portée en étendard.
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Trois exorcismes pour me « sauver » de l’homosexualité
Les parents de Kalenga ont voulu « guérir » l’homosexualité de leur fils : ils lui ont fait subir une thérapie de conversion.
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J’ai arrêté de dire « sale PD »
Arthur a arrêté de dire des insultes homophobes et a pris conscience de sa propre homophobie quand son frère a fait son coming-out bi.
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On me traitait de « sale gouine »
Après son coming-out bi, en quatrième, Alice ne s’est pas caché mais la moitié de sa classe l’a harcelée pendant plus de huit mois
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Je suis la féministe de ma famille
Dans la famille de Valentine, parler patriarcat, inégalités de genre, et stéréotypes, ça passe moyen. Mais à force d’insister, son étiquette de « féministe » finit par payer.
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Dans une petite ville, si t’es gay, ça se sait
Dans sa ville, Jack connait déjà tout le monde. Alors pour vivre son homosexualité librement, il ne lui reste que les réseaux.
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À l’école, je soutiens mon amie lesbienne
Au collège, l’amie de Neyla est lesbienne. Pour elle, il devrait y avoir plus d’éducation et de sensibilisation LGBT à l’école.
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Raciste, sexiste et homophobe… c’est mon père
Mon père a des opinions que je ne supportais plus, surtout sur les femmes. M’éloigner de lui a été la meilleure solution pour m’affirmer et militer.
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Dans mon lycée catho, fallait cocher la case hétéro
Au lycée catholique, la pression et les réflexions homophobes ont privé Clémence de sa liberté. Jusqu’au jour où elle a balayé les moqueries.
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En France, je peux enfin vivre mon homosexualité
Au Maroc, parce que je suis homosexuel, j’ai été moqué, insulté, violenté. Alors j’ai fui pour trouver un pays qui accepte les LGBT, tels qu’ils et elles sont.
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55 jours avec mes parents… pas un de plus
Pour échapper aux propos discriminants de mes parents, je faisais tout pour les éviter. Mais ça c’était avant le confinement… Le 17 mars, je me suis mis en mode survie, et je m’en suis sorti.