-
Je vis pour ma famille et pour la retrouver
Riama ne s’est jamais remise de son départ forcé de Mayotte. Malgré tout, loin de sa famille, elle fait tout pour les rendre heureux.
-
Mayotte : pas d’argent, pas de considération
D’origine comorienne, Nadia a grandi à Mayotte dans le dénuement le plus total. Aujourd’hui, elle s’accroche aux études, sa porte de sortie de la pauvreté.
-
Je suis prise entre deux cultures, entre Mayotte et la Réunion
Née à la Réunion de parents mahorais, Mouna se sent parfois perdue entre ses deux cultures.
-
Étudier à 8 000 km de chez moi
Marie a quitté Mayotte pour ses études. Elle a découvert la métropole, très différente de ce que ses parents lui avaient raconté.
-
Je dois gérer l’angoisse de mes parents à Mayotte
Ishma est venue vivre seule en métropole. Ses parents ont peur qu’elle change, loin d’eux et de Mayotte.
-
Mes nuits blanches à Mayotte
Maëlle a vécu à Mayotte. Le département français le plus pauvre et le plus déprécié, mais aussi le théâtre de ses escapades nocturnes.
-
À Mayotte, notre scolarité caillassée
Dhoim a vécu son année de terminale au rythme des caillassages. Son lycée, à Mayotte, est régulièrement pris pour cible.
-
La violence des gangs, c’est celle de la misère
Il y a 11 ans, le décès d’un jeune homme lors d’un règlement de comptes a profondément marqué les habitant·e·s d’Acoua, à Mayotte, dont Saïndou. Des violences qu’il décrit aujourd’hui encore comme quotidiennes, et exacerbées par la précarité.