-
L’agriculture, c’est dans sa nature
À 6 ans, Marine a eu un coup de foudre pour les animaux. Cette enfant de l’aide sociale à l’enfance a choisi d’être accueillie par une famille d’agriculteurs. Elle rêve désormais d’éveiller d’autres jeunes esprits à sa passion.
-
Apaiser les morts
Romane a fait un choix de carrière peu commun : accompagner les défunts dans leur dernier voyage. À 23 ans, elle aspire à devenir thanatopractrice, un métier souvent mal compris mais essentiel à ses yeux.
-
La conseillère d’orientation a choisi pour moi
Sans l’accord de Gabriel, la conseillère d’orientation a envoyé son dossier de pré-inscription, décidant ainsi de son année de troisième.
-
Pas tous égaux dans l’orientation pro
Titi a grandi en marge de la culture « légitime ». Alors comment choisir un métier ? Avocate, journaliste, c’est loin de son quotidien.
-
J’ai adapté mon orientation au jugement familial
Son orientation, Ambre l’a sans cesse adaptée aux désirs et attentes de son père. D’écrivaine à ambassadrice, elle cherche encore son avenir.
-
Ma peur de l’avenir a joué dans mon orientation scolaire
On dit d’Adélie qu’elle a de la chance d’avoir des bonnes notes. Pourtant, elle se sent délaissée, et sa peur de l’avenir ne fait que grandir.
-
L’orientation, quelle pression
Denis a grandi en Roumanie. Aujourd’hui en France, il doit faire des choix pour son avenir, mais il a le sentiment de ne pas être assez armé.
-
Je suis moyenne car on me l’a répété
On a toujours dit à Sam qu’elle était moyenne et qu’elle ne réussirait pas. Une pression pesante, surtout au moment de choisir son chemin professionnel.
-
Dans mon collège privé, j’ai été mieux orienté
Pablo est passé du collège public au privé professionnel. Réticent au début, cette décision a sauvé sa moyenne générale.
-
En seconde, m’orienter n’est pas (encore) ma spécialité
La fin de la seconde approche, et je dois choisir mes spécialités et mon orientation. Comme je manque d’informations et d’interlocuteurs, je me mets la pression.
-
À 16 ans, livreur et décrocheur
Lycéen, pour pallier mon manque d’argent, j’étais livreur ponctuellement. Je me suis vite dit que ce n’était ni un travail ni une carrière.
-
La diversité dans les médias, ce sera moi ?
En tant que jeune de banlieue, Mahadi peine à croire en l’égalité des chances en voyant le manque de diversité dans son futur métier.