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Fachosphère : l’islamophobie pollue les réseaux
Rayan a découvert l’islamophobie à 14 ans, en même temps que Twitter et les comptes anonymes d’extrême-droite déversant des propos haineux contre sa religion.
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En fuyant Daech, nous n’avons emporté que nos souvenirs
De Erbil à Lyon, Ledia et sa famille se sont échappées après l’invasion de l’Irak par l’État islamique.
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J’évite de dire que je suis juive
Depuis qu’elle s’est fait insulter parce qu’elle est juive, Rachel ne parle plus ouvertement de sa religion. Et hésite à répondre quand on lui pose des questions.
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Dans ma famille, le sexe, c’est tabou
Avant les cours de SVT au collège, personne n’avait jamais parlé de sexualité à Joseph. Ce qui lui a valu des moqueries douloureuses.
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J’ai préféré la fuite au mariage forcé
Porter le voile, s’occuper de la maison, ne pas sortir… Le mariage forcé fut la goutte d’eau de trop et Mohana s’est enfuie.
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L’islamophobie, c’est pas juste une ambiance, c’est ma vie
Agression islamophobe dans la rue, rejet professionnel, Amna raconte qu’elle ne se sent plus en sécurité et acceptée en France. Elle porte le voile, et témoigne du climat islamophobe qu’elle vit au quotidien.
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Je dois faire semblant d’être hétéro
Illies attend sa majorité pour enfin ne plus avoir à cacher son homosexualité en famille. En attendant, il fait semblant d’aimer les filles.
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Parler règles et intimité, fallait juste oser
Musulmane, Maria a toujours cru que parler de ses règles et de son hygiène intime était tabou. Alors qu’il suffisait d’oser !
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Je danse même si c’est haram !
Assta est musulmane et danse depuis toujours. Sa religion le lui interdit, mais sa famille l’encourage. Parce que danser lui procure joie et liberté.
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Dans ma cité, j’ai cédé à l’argent facile
Mara a fait comme ses frères et ses amis : commettre des délits pour gagner de l’argent. Jusqu’à sa garde à vue et sa découverte de la religion.
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Tout le monde est à Trappes
« Radicalisée », « islamisée », « violente » et « dangereuse ». En janvier 2021, un enseignant du lycée La Plaine à Trappes faisait le tour des plateaux télé pour parler de la ville. Des lycéennes trappistes en dressent un tout autre portrait, celui d’une ville festive et multiculturelle.
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À l’école coranique, je n’étais pas à ma place
Envoyé à l’école coranique, Mamadou ne s’est pas senti à l’aise. L’islam est important pour lui, mais il ne veut pas y consacrer sa vie.