-
En grande précarité avant d’avoir mes papiers
Faute de perspective d’avenir, Famina a quitté les Comores. En France, elle s’est vite retrouvée vulnérable, sans logement fixe et sans papiers.
-
Sans-papiers, je travaille pour soigner ma mère
Arrivé il y a neuf ans, Harouna fait le ménage à Notre-Dame de Paris. Neuf heures par jour, pour 1 000 euros par mois et sans fiche de paie.
-
Mayotte : pas d’argent, pas de considération
D’origine comorienne, Nadia a grandi à Mayotte dans le dénuement le plus total. Aujourd’hui, elle s’accroche aux études, sa porte de sortie de la pauvreté.
-
Je dois quitter le territoire français
Nastou est sous le coup d’une OQTF : la France estime qu’elle n’est pas assez intégrée, alors qu’elle vit et étudie ici depuis quatre ans.
-
Grâce à mes papiers, j’ai enfin pu me projeter
Severdjian a fui le Kosovo enfant pour aller en France. Il a mis huit ans à obtenir des papiers. Aujourd’hui ma vie prend tout son sens.