Ce n’est pas qu’un job d’été
Pour payer leurs études ou subvenir à leurs besoins, les jobs d’été sont pour les jeunes des terrains d’expérimentation du monde du travail. Ils sont aussi révélateurs d’inégalités sociales.
Robin a observé ces inégalités sur l’île de la Réunion en travaillant pour un riche Réunionnais. Olivia travaille tous les étés dans le même fast-food : deux mois de salaire pour dix mois d’études. Une chance que n’a pas eu Lucas : licencié après quelques jours, sa scolarité a été mise en péril. Melinda, elle, a découvert sa vocation lors d’un remplacement d’été, après des années à se chercher.
1/4 Le temps d’un été, j’ai travaillé dans un autre monde
En travaillant pour un riche Réunionnais, Robin a observé les inégalités sociales sur l'île. De la cité de La Trinité aux hauteurs de Saint-Denis.
2/4 Deux mois de fast-food pour une année d’études
Olivia travaille tous les étés dans le même fast-food : un job qui lui permet de financer ses études, en calculant tout au centime près.
3/4 Pas de job, pas d’études en septembre
L’été dernier, Lucas a été licencié après quelques jours. Les aides alimentaires lui ont permis de survivre à son année d’études.
4/4 Un boulot en foyer, une vocation à la clé
Melinda a découvert sa vocation lors d’un remplacement d’été, après des années à tenter sans succès d’intégrer une école d’infirmière.