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Mon burn-out m’a dégoûté du journalisme
Devenir journaliste, c’est le rêve de milliers de jeunes qui intègrent chaque année l’une des 14 écoles de journalisme reconnues par la profession en France. Mais ils sont aussi nombreux à déchanter lors de leurs premiers contrats, entre horaires à rallonge, pression de la hiérarchie et vie personnelle sacrifiée. C’est ce qui est arrivé à Hugo.
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Deux jobs étudiants et un burn-out
Pour financer ses études, Mathilde a deux jobs étudiants. À 21 ans, elle doit tout compter, sort très peu et a déjà craqué.
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25 ans, premier job, premier burn-out
Maxime était fier de son travail dans l’associatif. Sauf que les missions étaient floues son rythme de travail intenable. Le burn-out s’est vite invité.
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Ma semaine de 4 jours : travailler moins pour vivre mieux
Après mon burn-out, je me suis interrogée sur l’impact de mon boulot sur ma vie perso. Depuis, je travaille moins, je gagne moins mais je me sens mieux.
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Burn-out : j’ai été chez le médecin au lieu d’aller au travail
Des week-end à bosser, des jours et des nuits à ne penser qu’au travail… J’ai craqué. Comment j’ai pu laisser mon entreprise me bouffer comme ça ?
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Paye ton burn-out militant
Militante salariée dans une asso, Jasmine est épuisée. Entre charge mentale et manque de reconnaissance, son corps commence à lâcher.
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Ex-salariée dans l’humanitaire, mon travail n’avait pas grand chose d’humain
À la recherche d’un métier qui aurait du sens, Sarah a été dégoûtée de l’humanitaire. Culte du surmenage, réunions loin du terrain, burn-out… Elle a fini paumée.
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Le burn-out : on en entend beaucoup parler, je l’ai vécu
Quand l’on ne prend pas soin de soi, il arrive vite. On le sent doucement arriver, et après il est lourd, il reste et il fait craquer. Carole a vécu le burn out et sait maintenant qu’il faut chouchouter son corps et son esprit.