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Mon quartier, c’est une cité ?
C’est en tout cas le mot qu’une amie a employé pour qualifier le quartier d’Emmanuel. Depuis, il prend conscience de ce que ça signifie, d’avoir grandi ici : si tu es un garçon, tu es forcément suspect. De dealer, de « mal tourner ».
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Les pires, ce sont les policiers de la BST
Là où vit Yacine, il y a plusieurs sortes de policiers. Ceux avec qui on peut parler, ceux qui ne font pas de cadeaux et ceux qui se croient au-dessus des lois.
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Ma meilleure vie, je la ferai au quartier
À l’école, Kylian a d’abord décroché, pour finalement décider de se construire une « meilleure vie »… sans quitter son quartier.
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Dans mon quartier, les policiers viennent juste pour se défouler
Les contrôles de police sont fréquents dans le quartier de Tristan. Il en a subi un particulièrement violent. Il raconte.
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Dans ma cité, j’ai cédé à l’argent facile
Mara a fait comme ses frères et ses amis : commettre des délits pour gagner de l’argent. Jusqu’à sa garde à vue et sa découverte de la religion.
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J’appelle les Grands, pas la police
Ils ont le rôle de gardiens, de conseillers, parfois même de policiers. Les Grands veillent sur les plus jeunes et cimentent le quartier. Ils ont remarqué le rap de Sidy et l’ont fait signer dans un label. Ils ont aussi défendu Alissia contre un harceleur sexuel.
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Il y a deux vies dans ma cité
Le bleu des flics ou celui du lac. Observer le trafic dans les tours ou les voir tomber. Aimer son quartier ou le quitter. Habiter en cité c’est vivre avec ses contradictions. Karim et Yaniss ont grandi au Gros Saule, un quartier d’Aulnay-sous-Bois. Une cité haute en couleurs qu’ils décrivent avec passion malgré les violences qui imprègnent leur quotidien.
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Les Courtillières : trois cités mais un seul quartier
Ma cité c’est comme une ville, avec ses quartiers, ses écoles et ses structures. Et nous au milieu, séparés mais unis. Ici, je vis ma meilleure vie.
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C’est pas les bâtiments qui font la cité
Le bleu des flics ou celui du lac. Observer le trafic dans les tours ou les voir tomber. Aimer son quartier ou le quitter. Habiter en cité c’est vivre avec ses contradictions. Karim et Yaniss ont grandi au Gros Saule, un quartier d’Aulnay-sous-Bois. Une cité haute en couleurs qu’ils décrivent avec passion malgré les violences qui imprègnent leur quotidien.
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Quartier des 3000 : je veux réussir comme Aya et Moussa
Aulnay-sous-Bois a mauvaise réputation. Pourtant, on y trouve des talents comme Aya Nakamura ou Moussa Sissoko. Les voir, ça inspire Paul.
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À la Castellane, malgré la drogue on vit normalement
J’habite un quartier marseillais traversé par le trafic de drogue et on cohabite très bien. Et puis, la Castellane, ce n’est pas que ça !
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Dans mon quartier, les filles n’ont pas le droit de cité
Dans le quartier d’Awa, chaque genre est à sa place. Les garçons s’approprient la rue tandis que les filles doivent se faire toutes petites.