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« Mon père veut que je fasse Polytechnique »
Soumaya, 17 ans, n’a pas vu son père depuis l’ouverture de Parcoursup, en novembre. Elle aurait aimé qu’il la soutienne dans ses choix d’orientation, mais il a d’autres ambitions pour elle.
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Devenir la candidate « parfaite »
Séline s’est donné un but dans sa vie de lycéenne : avoir le meilleur dossier possible pour être admise dans la formation post-bac de son choix. Elle met tout en place pour y arriver, quitte à se surcharger et à mettre sa santé en danger.
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« Le choix de ma vie en quelques clics de souris »
Jérémy, élève de terminale, n’est pas le seul pour qui Parcoursup est synonyme de stress et d’insomnie. Le lycéen, qui veut faire médecine, aimerait pouvoir se projeter dans l’avenir avec joie.
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La réforme du bac m’a fait défaut
Tariq est un des premiers à avoir connu la réforme du baccalauréat. À force de choisir par défaut, il a arrêté les études.
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Parcoursup : la compétition est devenue une obsession
La sélection imposée par Parcoursup stresse Marie plus que tout. Déjà bonne élève, elle est devenue obsédée par ses notes et son dossier.
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93 sur le CV, direct recalée ?
Massita a peur qu’en venant du 93, son dossier ne soit pas traité comme les autres par les écoles dans lesquelles elle postule.
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Ma terminale 8 h – 20 h, ça fait peur !
En classe de terminale, Abilashiny reste dix heures par jour au lycée. Quand elle rentre chez elle, ce n’est pas fini : elle doit faire ses devoirs, se renseigner sur son orientation et compléter Parcoursup.
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Le bac en pression continue
Rania est débordée par la masse de travail et d’activités qu’elle doit assumer pour avoir le meilleur dossier possible.
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Parcoursup : chaque note compte
Laura est obsédée par ses notes, mais elle redoute que ses premiers vœux soient rejetés à cause de la compétition générée par Parcoursup.
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Un STMG en Staps, mon uppercut aux clichés
J’ai bien failli ne pas trouver de formation post-bac à cause de ma filière au lycée. Mais le déclic et le travail m’ont permis d’intégrer la Staps de Nanterre !
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Lycéenne du 93, j’ai été acceptée à Assas, cette « université inaccessible »
Djery rêvait d’intégrer l’université Panthéon-Assas. Sa réputation et son prétendu côté inaccessible n’ont fait que renforcer sa volonté d’y accéder.
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Après le bac, je suis devenu un numéro au milieu des étudiants
Les concours, Parcoursup, la fac… J’ai découvert un monde dans lequel j’étais identifié par un numéro (parmi d’autres), et plus par mon nom. J’étais pas prêt !