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La police me plaque, mon père me frappe
Sofiane est entouré par la violence, et il essaie d’y échapper. Mais entre le deal, la police et son père, ce n’est pas toujours facile.
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Violences policières : sans preuve, c’est comme s’il ne s’était rien passé
Victime de violences policières, Nathan n’est pas allé porter plainte. Pas de traces, pas de preuves, il sait que ça n’aurait servi à rien.
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Violences policières : serais-je le prochain ?
Pour ne pas avoir porté de masque, un de ses amis a été tabassé par un policier. À force d’assister à ce genre de scènes, Kelvin se méfie d’une institution qui couvre systématiquement les violences policières.
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Avec la BAC, c’est la guerre
Dans le quartier de Léo, la BAC passe parfois du contrôle à la bavure. Lui et les autres jeunes ont décidé de répliquer face à ces violences policières.
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Violences policières : j’ai porté plainte… à la police
Depuis que des policiers l’ont bousculé et insulté, Rida surveille derrière lui quand il marche dans la rue. Il a perdu toute confiance en la police.
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Le rap me rend plus conscient
Grâce au rap, Eliott a acquis des connaissances qu’il n’aurait peut-être pas eu ailleurs. Il l’aide à se déconstruire et lui a permis d’en découvrir plus sur les luttes contre le racisme et les violences policières.
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Mes proches luttent en Colombie… et moi ici
La Colombie traverse un moment historique et Mathias… est en France. Frustré et inquiet pour ses proches, il essaie de lutter à son échelle.
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Police : mon casier leur donne tous les droits
Depuis mes 14 ans, j’ai affaire à la police et à sa violence. Avoir un casier n’a rien arrangé. Au contraire.
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Je connais toutes les brigades d’Aulnay
BAC, BST, TDM, Reda repère les policiers qui arpentent sa ville : leurs véhicules, leur caractère et surtout leur comportement à son égard.
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Blessée par un tir de LBD, ma mère n’ose plus manifester
En manifestation, ma mère a été victime de violences policières. Elle a des séquelles physiques et psychologiques et nous ne savons pas où en est l’IGPN.
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J’ai filmé une bavure, les policiers ont supprimé ma vidéo
Quand le contrôle de police s’est transformé en bavure, j’ai filmé les policiers qui frappaient mon pote. Ça ne leur a pas plu. En plus de supprimer ma vidéo, ils m’ont collé une amende.
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Garde à vue : 17 heures d’humiliation
Le 17 novembre, j’ai manifesté contre la loi « sécurité globale » à Paris devant l’Assemblée nationale. Bilan : plus de 3 heures d’interpellation et 17 heures de garde à vue pour un délit non avéré. Et la conviction que mes droits et ma personne n’ont pas été respectés par la police.