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« Mais tu veux devenir Rachida Dati ou quoi ? »
À l’heure des choix sur Parcoursup, Caesa, 17 ans, en terminale, ne cache pas ses ambitions. Ses parents ont quitté l’Algérie pour offrir une vie meilleure à leurs enfants. Ils sont à la fois très encourageants et un peu inquiets d’imaginer leur fille, femme maghrébine et voilée, à Sciences Po.
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Études supérieures à l’étranger : une opportunité d’indépendance
Hanae vit avec ses parents à Tanger. Elle ne souhaite qu’une chose : partir étudier seule à l’étranger pour profiter à 100 % de sa vie étudiante.
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Voyager, c’est ma normalité
De retour à Bordeaux après un Erasmus en Irlande, Chloé a pris conscience de ses capacités, mais aussi de ses privilèges.
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Je me noie sous les papiers
CAF, Crous, Sécu… Erwan se sent dépassé par l’administration française. Et ça lui coûte de l’argent.
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Remettre les pieds à la fac m’a sauvé
Quand tout a fermé à cause du Covid, Alexandre a ressenti une grande solitude, le soir. Il reste aujourd’hui marqué psychologiquement.
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Mes études sous Covid : isolé en métropole
Klem a perdu tout espoir de vie sociale en arrivant à la fac. Une arrivée compliquée par la crise, et les restrictions sanitaires.
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Étudiante, je ne suis « jamais assez » pour trouver un stage
Morgane veut travailler dans l’audiovisuel. Pour postuler dans l’école de ses rêves, il lui faut d’abord un stage. Mais la concurrence est rude…
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Ma peur de l’échec m’empêche d’avancer
Brytanie s’est retrouvée submergée par ses angoisses pendant sa première année d’études. Quatre ans plus tard, sa peur de l’échec persiste.
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Mon métier je l’ai choisi, pas rêvé
En cours, Maëva a eu une heure pour choisir son futur métier. Une mission qu’elle a prise très au sérieux. Son critère principal, le salaire !
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Dans l’Hexagone, mes trois ans d’études ne valent rien
Agwa est venu prolonger ses études de géographie en France. Il se rendra vite compte que son diplôme obtenu aux Comores ne compte pas pour le système français. Il raconte sa désillusion.
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Mes études à l’étranger mais… en France
Faute de visa, j’étudie dans une université québecoise depuis ma chambre, à Annecy. Décalage horaire, moindre accès aux opportunités offertes par ma formation… Ce n’est pas pour ça que j’avais signé, et pourtant !
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La vie de campus m’a sortie de la solitude
Je me sentais seule et fragilisée par le premier confinement quand j’ai intégré une résidence étudiante à la rentrée. La vie sociale sur le campus me permet aujourd’hui d’affronter la crise sanitaire plus sereinement.