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Des pastéis de nata aux croissants
Filipe a quitté le Portugal quand il avait 7 ans. À Paris avec sa mère, il s’est petit à petit adapté à sa nouvelle vie.
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Le mal du pays dans l’assiette
Youssouf a grandi en Côte d’Ivoire. Après un voyage éprouvant pour rejoindre la France, il découvre, émerveillé, un nouveau pays. Mais ici, tout lui manque : sa famille, ses amis et la cuisine ivoirienne.
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L’urgence de vivre avant l’urgence climatique
Jeune Soudanais exilé en France, Redwan découvre un monde dans lequel le changement climatique fait plus parler de lui que dans son pays natal. Il s’informe dans la presse anglaise et se construit petit à petit sa propre opinion.
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Mots pour maux
Vénézuélienne, Carmen a quitté son pays pour la France à 20 ans. Elle a dû tout laisser derrière elle et apprendre une nouvelle langue. Elle peut désormais vivre en paix et être soignée.
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Perdre son père, cet inconnu
Fissenou a grandi au Sénégal. Il n’a jamais connu son père, qui vivait en France. Aujourd’hui, il regrette de ne pas l’avoir rencontré.
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« Ma fille, elle, ne subira pas de mariage forcé »
Aïcha est guinéenne. Mariée de force avec un inconnu à l’âge de 16 ans, elle a été maltraitée. Enceinte, elle a pris la route pour rejoindre l’Europe afin d’offrir une meilleure vie que la sienne à sa fille.
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Exil : qu’aurait-il fait sans mon aide ?
Pas d’aide de l’État, des hébergements d’urgence, et peu des assos… Après le périple en mer, les demandeurs d’asile sont confrontés au manque de prise en charge de la France et doivent se débrouiller seul pour survivre. Bruno est venu en aide à son cousin, abandonné par les institutions.
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Chaque nuit, je revis la guerre
Hassan est né dans un camp de réfugiés palestiniens en Irak. Il est venu en France avec sa famille à pied, traversant la guerre et les frontières. Depuis, il fait des terreurs nocturnes et revoit chaque nuit les horreurs qu’il a traversées.
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L’autre moitié de ma vie
Plusieurs jeunes nous ont raconté leur arrivée en France, la violence du choc culturel, la sensation de déracinement, et la difficulté à se faire une place quand on n’a pas les codes. Rosa culpabilise presque de se sentir bien à Paris, loin de son Cambodge natal.
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Aujourd’hui, je vis bien
Ce qui nous a frappés en rencontrant les jeunes du lycée Rabelais, c’est à quel point nombre d’entre eux s’inquiètent pour l’avenir. Et pour cause : la grande majorité s’inquiète déjà pour la fin du mois. Gor et sa mère ont connu la rue et les hôtels sociaux quand ils sont arrivés d’Arménie.
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Moi, Français expatrié à Tanger
Les parents de Wass se sont installés au Maroc quand il était tout petit. Il a mis du temps à apprivoiser ce pays, mais aujourd’hui il fait partie de lui.