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Chaque nuit, je revis la guerre
Hassan est né dans un camp de réfugiés palestiniens en Irak. Il est venu en France avec sa famille à pied, traversant la guerre et les frontières. Depuis, il fait des terreurs nocturnes et revoit chaque nuit les horreurs qu’il a traversées.
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L’autre moitié de ma vie
Plusieurs jeunes nous ont raconté leur arrivée en France, la violence du choc culturel, la sensation de déracinement, et la difficulté à se faire une place quand on n’a pas les codes. Rosa culpabilise presque de se sentir bien à Paris, loin de son Cambodge natal.
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Aujourd’hui, je vis bien
Ce qui nous a frappés en rencontrant les jeunes du lycée Rabelais, c’est à quel point nombre d’entre eux s’inquiètent pour l’avenir. Et pour cause : la grande majorité s’inquiète déjà pour la fin du mois. Gor et sa mère ont connu la rue et les hôtels sociaux quand ils sont arrivés d’Arménie.
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Moi, Français expatrié à Tanger
Les parents de Wass se sont installés au Maroc quand il était tout petit. Il a mis du temps à apprivoiser ce pays, mais aujourd’hui il fait partie de lui.
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Des gens rêvent de Paris, moi je rêve de rentrer
Temi a quitté sa campagne ghanéenne à 13 ans pour venir en ville, à Paris. Elle ne s’y est jamais habituée.
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Harcèlement sans frontières : la violence me poursuit
Pour Vinny, ce qui ne change pas entre son pays d’origine et la France, c’est la violence entre jeunes. Une violence raciste, dans son cas.
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Elle ne me voyait pas comme un étranger
À son arrivée en France, Levesse est inquiet pour ses papiers et sa situation. Une rencontre avec une fille l’a aidé.
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Arriver en France et s’adapter, c’est compliqué
Matéi a quitté quasiment du jour au lendemain l’Espagne, son pays natal, pour la France. Il a vécu un vrai choc des cultures.
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Les galères d’une étudiante étrangère en France
En débarquant d’Algérie, Sofia s’imaginait devenir une scientifique reconnue. Mais tout ne s’est pas passé comme prévu.
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« Femme, vie, liberté » : un slogan qui fait mon identité
Kurde, Havin a grandi en France. Elle est très attachée à sa langue, à sa communauté et ses valeurs, comme le féminisme.
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Mon arrivée en France, privilégiée mais isolée
En France, Lanna s’est trouvée plongée dans un monde nouveau : une langue différente, des libertés nouvelles, une école exigeante.
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En grande précarité avant d’avoir mes papiers
Faute de perspective d’avenir, Famina a quitté les Comores. En France, elle s’est vite retrouvée vulnérable, sans logement fixe et sans papiers.