-
« Femme, vie, liberté » : un slogan qui fait mon identité
Kurde, Havin a grandi en France. Elle est très attachée à sa langue, à sa communauté et ses valeurs, comme le féminisme.
-
Mon arrivée en France, privilégiée mais isolée
En France, Lanna s’est trouvée plongée dans un monde nouveau : une langue différente, des libertés nouvelles, une école exigeante.
-
En grande précarité avant d’avoir mes papiers
Faute de perspective d’avenir, Famina a quitté les Comores. En France, elle s’est vite retrouvée vulnérable, sans logement fixe et sans papiers.
-
Sans-papiers, je travaille pour soigner ma mère
Arrivé il y a neuf ans, Harouna fait le ménage à Notre-Dame de Paris. Neuf heures par jour, pour 1 000 euros par mois et sans fiche de paie.
-
Mon pays en guerre, mon départ en solitaire
Grandir dans un pays en guerre et se faire enrôler n’était pas une option. Alors Mukhtar Mohamed a quitté la Somalie, sans prévenir personne.
-
VIDÉOS – Mon adolescence en exil
Dans une mini-série produite par Médecins sans frontières, quatre jeunes nous racontent à quoi ressemble le quotidien quand on est mineur isolé en France.
-
La première fois où j’ai fêté Noël
C’est au terme d’une longue traversée que Youssouf est arrivé en France. Il ne regrette pas : il a découvert Noël, la neige, et la joie !
-
Quitter mon île pour aller vivre en métropole
Loan est réunionnais et rêve de faire sa vie en France. Ce qu’il appelle la France, c’est l’Hexagone, ce « pays » qui lui semble si lointain.
-
Ma vie, je la préférais en Algérie
En Algérie, Leila était une élève brillante. En déménageant en France, elle a dû recommencer le lycée. Et revoir ses rêves à la baisse.
-
Mon arrivée en France : un parcours du combattant
Yacouba est arrivé seul de Côte d’Ivoire. Il a vécu à la rue. Même s’il a son passeport avec lui, il n’est pas sûr d’être reconnu mineur.
-
Immigrer a bousculé ma scolarité
Mariam a quitté la Géorgie avec sa famille pour venir en France. Reprendre l’école à 12 ans dans une langue inconnue l’a découragée.
-
Afghan en Iran, je voulais juste étudier normalement
Mustafa n’a pas été scolarisé comme les autres enfants d’Iran. En grandissant, il a dû immigrer en Suède, où il a remporté un prix littéraire.