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La mezzanine du salon, mon espace à moi
Martine, sa mère et son oncle ont habité dans la même pièce. Perchée sur son lit, elle a vécu au milieu du bruit et sans intimité, mais dans sa bulle.
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16 heures au KFC, 30 heures de cours
Pour pouvoir vivre et étudier à Paris, Louise travaille tous les week-ends dans l’odeur de friture et sous la pression de ses patrons. Au détriment de sa santé, son moral et sa vie sociale.
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On a maintenu le lien à travers les barreaux
Lucas a grandi avec un père derrière les barreaux. Malgré les obstacles et contre l’avis de sa mère, il a réussi à garder le contact.
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Il m’a jetée dehors
Après avoir été élevée par sa mère, Shierley a été obligée de vivre chez son père. Un jour, il l’a chassée de chez lui et elle a dû se débrouiller seule.
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L’inégalité des chances, je vais l’éclater
Salife a grandi en Seine-Saint-Denis : il sait qu’il n’a pas eu les mêmes opportunités que d’autres né·e·s ailleurs. L’égalité des chances ? Il n’y croit plus.
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Sous-locataires, on a vécu un calvaire
Pour éviter de se retrouver à la rue, Isaac et sa mère ont vécu neuf mois en colocation avec une femme qui leur a fait vivre un enfer.
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Réinsertion : j’étais mieux suivi en prison
Faute d’interlocuteurs pour retrouver un logement et un emploi, Mouss a du mal à se réinsérer après son séjour en prison.
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Mon job étudiant en vaut-il la peine ?
Margot travaille tous les week-ends en parallèle de ses études. Ce job l’éloigne de ses proches, et de la vie étudiante dont elle rêvait.
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En couple dans un 25 mètres carrés, une vraie épreuve
Julien a passé le confinement en couple, dans un appart de 25 mètres carrés. Une situation déjà peu confortable que le Covid n’a fait qu’empirer.
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Mineur isolé : je suis un garçon qui doit s’en sortir seul
Quand Raël s’est vu refuser son statut de mineur·e isolé·e, il a connu la rue, et les tentes prêtées par les associations.
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À l’école, je cachais que je vivais à l’hôtel
Arrivé de Guadeloupe à 5 ans, Sidney a (sur)vécu pendant deux ans dans un hôtel du 93. Deux ans de honte avant d’obtenir un vrai logement.
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Le deal n’est pas de « l’argent facile »
Dans les quartiers Nord, Jaguor, Nabil, Bilel et Kacim ont vu dans le deal une solution à leur manque d’argent. Malgré ses conséquences violentes.