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Magasins bio, addition salée
Pendant son volontariat en service civique, Léa a décidé de mettre de l’argent de côté pour manger bio. Mais une fois dans le supermarché, les prix étaient trop élevés pour son budget.
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Au boulot pour aider les parents
Jean et son frère soutiennent financièrement leurs parents. À 20 ans, il a déjà occupé plusieurs postes. Aujourd’hui en formation, il veut vite recommencer à travailler.
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Le coût de la santé mentale
Entre les médicaments et les séances chez des spécialistes, Pauline, 36 ans, débourse des centaines d’euros tous les mois pour se soigner. Seule une petite partie de ces soins, qui l’aident à mieux vivre, est remboursée.
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« J’aurais pu rester à l’école si c’était payé »
Adrien, 16 ans, a arrêté l’école pour aider sa mère, en situation de handicap et sans emploi. Volontaire en service civique, il est chargé des courses, des repas et participe aussi au loyer.
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Le droit chemin
À 15 ans, Abdel Karim a commis des délits avec ses potes pour remplir le frigo. Jusqu’au jour où…
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L’inflation s’est invitée à notre table
Les familles nombreuses monoparentales sont celles qui subissent le plus l’inflation. Lola, 13 ans, l’a vite remarqué dans son assiette : elle y trouve moins de viande et de gâteaux.
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Vivre à l’hôtel, c’était « la honte »
Yasmine ne parlait pas de sa situation à ses amies. Elle a tout fait pour que celles-ci ne découvrent pas son lieu de vie : une chambre d’hôtel, partagée avec le reste de sa famille.
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À l’hôtel, des amis pour tenir
Pendant un an, Marie et sa famille ont été ballotées d’un hôtel social à l’autre. C’est grâce aux amis qu’elles s’y sont faits qu’elle ont tenu le coup. Des liens forts qui se sont défaits après qu’elles ont retrouvé un logement : une fois l’hôtel quitté, on préfère l’oublier.
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À 15 ans, je travaille déjà
À son âge, Xavier a déjà des responsabilités d’adulte. À côté du lycée, il gère la paperasse de la famille et travaille dans la boutique de son oncle.
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1 100 euros pour quatre
À 16 ans, Wilfried parle comme un homme abîmé par les années de galère. Il connaît par cœur le budget très serré avec lequel sa mère lutte tous les mois.
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La coloc de la débrouille
Entre course à l’économie, récup et un chouïa de larcin, Alex et ses deux colocs affrontent la galère précaire ensemble. Une situation à laquelle quatre jeunes sur dix sont confrontés en France.
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Aujourd’hui, je vis bien
Ce qui nous a frappés en rencontrant les jeunes du lycée Rabelais, c’est à quel point nombre d’entre eux s’inquiètent pour l’avenir. Et pour cause : la grande majorité s’inquiète déjà pour la fin du mois. Gor et sa mère ont connu la rue et les hôtels sociaux quand ils sont arrivés d’Arménie.