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« Je suis nulle en sport, et alors ? »
Le sport, ce n’est pas le truc de Mariem. Bien décidée à ce que cette discipline ne fasse pas chuter sa moyenne, elle s’est mise à pratiquer le badminton, à l’association sportive du lycée. Et elle y a pris goût.
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La filière pro a sauvé ma scolarité
Au collège, Claire n’est pas passée loin du décrochage scolaire. C’est en maison familiale rurale (MFR), avec des profs à l’écoute, qu’elle a repris goût à l’école et aux interactions sociales.
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Une ville sans collège
Madija vit à Fleury-Mérogis, une ville de 10 180 habitants… sans collège ni lycée. À 14 ans, elle prend donc tous les jours le bus pour étudier dans une ville voisine.
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À plus dans le bus du lycée
Tous les jours, Yañ Erest prend le car pour aller en cours. Il y règne une ambiance bien particulière, entre éclats de rire des lycéens et jurons du chauffeur.
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L’autre moitié de ma vie
Plusieurs jeunes nous ont raconté leur arrivée en France, la violence du choc culturel, la sensation de déracinement, et la difficulté à se faire une place quand on n’a pas les codes. Rosa culpabilise presque de se sentir bien à Paris, loin de son Cambodge natal.
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Étudier au lycée français de Tanger
Vivre au Maroc et être scolarisé au lycée français, c’est parfois le grand écart. Six élèves racontent ce quotidien un peu spécial au micro de la ZEP.
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Plus tard, surtout pas la France
Bilal n’ira pas en France pour poursuivre ses études, malgré ce qu’on lui conseille au lycée : la France de « là-bas », comme il dit, lui fait peur.
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Comme une intruse dans mon pays
Le lycée français, c’est aussi un lieu intransigeant, où les différences entre élèves locaux et élèves venus d’ailleurs se font sentir. Bien que marocaine, Ellie n’a pas été très bien accueillie.
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Une bulle de privilégiés
Être au lycée français, c’est faire partie de l’élite. Pour Elinor, c’est surtout venir de familles privilégiées capables de payer plus de 4 000 euros l’année.
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Un modèle de tolérance
Pour Safir, son lycée c’est plus qu’une expérience : c’est un modèle à suivre. Faire cohabiter laïcité et religion, c’est possible !
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Moi, Français expatrié à Tanger
Les parents de Wass se sont installés au Maroc quand il était tout petit. Il a mis du temps à apprivoiser ce pays, mais aujourd’hui il fait partie de lui.
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La France, c’est pas mon Eldorado
Au lycée français de Tanger où Slimane étudie, on lui parle beaucoup d’un pays : la France. Mais lui n’est pas sûr de vouloir y aller.