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Prêt à tout pour choper un bout
Pour pouvoir fumer des joints, Ahmed a volé et dealé. À cause des effets de la drogue et de sa consommation d’alcool, il a perdu son emploi en alternance. Le jeune homme de 17 ans a essayé le sport et a consulté un addictologue pour arrêter de boire et de fumer. En vain.
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Témoin du trafic en bas de chez lui
De son balcon, Djibril est aux premières loges pour observer discrètement les dealers, les guetteurs et les descentes de police. De là, il rêve de pouvoir descendre dans la rue sans avoir peur.
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Je ne veux pas arrêter la drogue
Mathis connaît les dangers des drogues dures, pourtant il en consomme régulièrement. Quitte à se mettre en danger.
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Mon quartier, c’est une cité ?
C’est en tout cas le mot qu’une amie a employé pour qualifier le quartier d’Emmanuel. Depuis, il prend conscience de ce que ça signifie, d’avoir grandi ici : si tu es un garçon, tu es forcément suspect. De dealer, de « mal tourner ».
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Des « miss » pour 10 euros
Quand on n’a jamais eu d’argent, ne pas le dépenser c’est facile, nous explique Christophe. Mais le gagner du coup, c’est primordial, et pour ça, quand on est mineur, tous les moyens sont bons. Lui, il livre de la drogue dans les beaux quartiers pour mettre un peu d’argent de côté.
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Porte de la Chapelle : du crack et de la casse
Jimmy vit au milieu du crack et des travaux pour les Jeux Olympiques 2024. Il voit son quartier changer, et a peur d’en être chassé.
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Depuis elle, je ne deale plus
Hassan voulait être plus indépendant. Il s’est mis à dealer après les cours… jusqu’à ce qu’il tombe amoureux d’Inès.
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La drogue a fait de mon frère un inconnu
Tout a changé quand le frère de Nao est parti étudier à Paris. Drogues et incompréhensions ont fait exploser leur relation.
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Le deal n’est pas de « l’argent facile »
Dans les quartiers Nord, Jaguor, Nabil, Bilel et Kacim ont vu dans le deal une manière de gagner de l’argent. Peu importent les conséquences.
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À la Castellane, malgré la drogue on vit normalement
J’habite un quartier marseillais traversé par le trafic de drogue et on cohabite très bien. Et puis, la Castellane, ce n’est pas que ça !
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Confiné avec mes addictions, j’ai tout arrêté
Cigarettes, alcool et drogues rythmaient mon quotidien. Confiné, j’en ai profité pour tout arrêter. Pour de bon !
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Mon frigo, c’est la drogue qui le remplit
Mes parents n’ont pas beaucoup d’argent. Alors, pour aider la famille, je vends de la drogue là où il y a des clients : à Paris. À 180 km de chez moi.