- 
					
					Une absence omniprésenteMelvin a grandi sans père, avec un sentiment de vide et des questions sur son identité. Pour combler ce manque, il a entamé une quête sur ses origines marocaines. 
- 
					
					Victime de racisme anti-asiatiquePierre est d’origine vietnamienne. Face aux remarques racistes, il s’est renfermé sur lui-même. Grâce à l’amitié, aux jeux vidéo et à l’humour, il a réussi à mettre ces attaques à distance. 
- 
					
					Réussir avec mon nom d’immigréeLes parents de Rosalia ont toujours fait de l’école une priorité pour leur fille. En « réussissant », elle a peur d’oublier d’où elle vient. 
- 
					
					Mon île que je ne connais pasLa mère de Raphaël est née à Madagascar, mais elle a été adoptée et a grandi en France. Lui rêve de découvrir l’île de ses ancêtres. 
- 
					
					Descendante d’esclaves ?C’est la question qu’Éloïse se pose. Dans sa famille, son besoin de connaître ses origines provoque le silence, parfois même la colère. 
- 
					
					Antillaise, mais pas comme mes parentsD’origine antillaise, élevée en métropole, Emma a compris il y a peu son histoire familiale. Aujourd’hui, elle en est fière. 
- 
					
					VIDÉO – Victime de racisme, je m’attaque aux clichésMétissée, Cathy a entendu toute sa vie les mêmes questions : « Tu viens d’où ? » ; « Tes parents sont-ils en France ? »… Ce qui ne l’a pas aidée à trouver sa place. 
- 
					
					On m’inventait des originesParce que ses parents ont dû fuir la guerre au Cambodge, Irène a été élevée dans le flou concernant ses racines. C’est une fois adulte qu’elle a découvert ses nombreuses origines. 
- 
					
					On me prenait pour un étrangerIsham se sent chez lui aussi bien en Ouganda qu’en France. Pourtant, il est partout considéré comme un étranger à cause de sa couleur de peau métissée. 
- 
					
					Mes tiktokeurs préférés ont la même vie que moiDes jeunes de banlieue, fiers de leurs origines, voilà les tiktokeurs que suit Anaïs. Des gens comme elle, et des modèles de réussite. 
- 
					
					Métisse, mon identité est encore en chantierJe me suis crue noire, blanche et même arabe, mais vous savez quoi ? Je suis une métisse afro-européenne et j’ai mis du temps à l’accepter. 
- 
					
					Je n’ai pas la gueule de la FranceJe suis française. Oui, mais voilà, je suis métisse. Alors, on me renvoie sans cesse à mes origines togolaises. Au point de me questionner sur ma couleur. 
 
                         
                         
                         
                         
                         
                         
                         
                         
                         
                         
                        