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Percer dans le rap grâce à nos Grands
Sofiane fait du rap avec ses potes. Depuis que les Grands du quartier les ont remarqués, ils passent cinq heures par semaine au studio.
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Je produis des sons dans ma chambre
Rap, musique, prods : c’est l’univers de Basou. En créant un studio dans sa chambre, il apprend le métier de producteur et ses travers.
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Le rap violent, ça commence à me déranger
Arsene est fan de rap, mais une tendance glorifie la violence selon lui. Il s’inquiète des effets que ça pourrait avoir sur certains jeunes.
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Mon label m’a collé une étiquette
Grâce à ses freestyles sur les réseaux, Shaï a intégré un label de musique à 16 ans. Mais il a perdu sa liberté artistique.
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Le rap, c’était mieux avant ?
Alves Edson est fan de rap. Ses parents aussi. Mais ils ne sont pas d’accord sur ce que c’est, le « vrai » rap.
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Le rap de Booba me rappelle mon pays, le Sénégal
La beauté du Sénégal que Booba met en avant dans ses clips ont dressé des ponts entre la culture de Mohamed et la France.
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Les Grands du quartier m’aident à percer
Ils ont le rôle de gardiens, de conseillers, parfois même de policiers. Les Grands veillent sur les plus jeunes et cimentent le quartier. Ils ont remarqué le rap de Sidy et l’ont fait signer dans un label. Ils ont aussi défendu Alissia contre un harceleur sexuel.
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Le rap me rend plus conscient
Références historiques, engagement politique… Eliott a beaucoup appris grâce au rap et à ses artistes, dont il décortique les textes.
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Rapper la hess ça me faisait du bien
Depuis la primaire, Mohammed écrit des textes de rap. L’amour de la musique l’aide à affronter ses soucis et la vie en foyer.