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Un psy pour canaliser sa colère
Dans les rixes, Naël a perdu un ami. Il a aussi frappé un jeune homme jusqu’au coma. Dépassée par la violence de son fils, la mère de Naël l’a emmené voir un psychologue. Pour la première fois, il a pu poser des mots sur sa colère.
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La haine
Lucas ne s’est jamais remis de la fin prématurée de sa carrière de footballeur. Plongé dans une spirale de violence et d’excès, le jeune homme s’est même retrouvé face à la justice.
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Faire comme les autres pour ne plus être harcelée
Marie a été harcelée pendant plusieurs années. Au collège, elle s’est mise à imiter ses amis pour ne plus être perçue comme différente, et ne plus subir de violences.
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J’ai besoin de ma dose de bagarre
Pendant longtemps, Mathieu s’est battu tous les jours. Un éducateur l’a aidé à gérer cette violence. Mais elle est toujours présente, au fond de lui.
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Harcèlement scolaire : taper fort pour que l’injustice s’arrête
Le gouvernement a présenté fin septembre un plan de lutte contre le harcèlement scolaire, ce fléau qui touche un élève sur cinq en France. Le meilleur ami de Béné en a été victime. Face à l’inaction du personnel encadrant, Béné a décidé de prendre les choses en main.
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J’aime être la fille qui fait peur
Pour Amandine, pas besoin d’être un mec pour faire peur et savoir se battre. Quand on la provoque, elle n’hésite pas, elle fonce.
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Le rap violent, ça commence à me déranger
Arsene est fan de rap, mais une tendance glorifie la violence selon lui. Il s’inquiète des effets que ça pourrait avoir sur certains jeunes.
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La violence de mon père, j’en mesure encore les effets
Soumaya a vécu avec un père violent, et en a subi les conséquences : pour protéger sa mère, elle a même arrêté l’école.
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Se battre pour ne pas être perçu comme faible
Pour Anthony, c’était pas une simple bagarre : c’était se défendre pour ne pas être vu comme un faible, par les autres et par lui-même.
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À Mayotte, notre scolarité caillassée
Dhoim a vécu son année de terminale au rythme des caillassages. Son lycée, à Mayotte, est régulièrement pris pour cible.
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La violence de mon quartier m’a laissé des séquelles
Émilie a grandi dans un quartier où les violences sont quotidiennes. Parce qu’elle a été à la fois victime et témoin, elle garde aujourd’hui des séquelles physiques et psychologiques.
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Un week-end sur deux, je me faisais frapper
Fille de parents divorcés, Jessica a été battue par son père pendant plusieurs années. Aujourd’hui, elle ne le voit plus, mais la douleur est encore là. Et pour longtemps.