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France-Turquie, un voyage à sensations
L’été, Anaya part en Turquie pour voir ses grands-parents. Un long voyage, plusieurs pays traversés et un plaisir de la route toujours renouvelé.
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Basket autour du monde
Sans le basket, Clerance n’aurait pas voyagé autant. Ni découvert que la concurrence internationale était rude.
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Changer d’air pour la première fois
Partir en vacances, pour Medhi, ce n’est pas si courant. Il se rappelle précisément des quelques voyages qu’il a eu l’occasion de faire et se sert de ces beaux souvenirs pour rêver en attendant le prochain.
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« J’étais avec des gars de Noisiel, Champs, Torcy »
Yanis connaissait quelques gars des villes voisines mais ne leur avait jamais vraiment parlé. Entre les heures passées à suer en pédalant et les soirées bowling, il a appris à mieux les connaître, petit à petit.
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« Le vélo, c’est vraiment physique ! »
Ismo a sous-estimé la difficulté du vélo. Ce n’est qu’après la première destination, à 70 km du point de départ, qu’il a réalisé que ça n’allait pas être une mince affaire.
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« J’ai rencontré des frères là-bas »
Zako avait envie de rencontrer des jeunes d’autres villes, mais les embrouilles rendaient jusque-là toute amitié impossible. Alors quand il a entendu parler du 77 à vélo, il n’a pas hésité : il a foncé. Sur 800 km.
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« Ne pas décevoir mon père et mon frère »
Arriver dans les premiers, ne pas abandonner : voici les résolutions de Yassine sur son vélo. Un esprit de compétition dont il a hérité.
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Plutôt au quartier qu’en Gambie
L’été, Bouba fait tout pour ne pas aller en Gambie avec sa famille. C’est au quartier avec ses potes qu’il vit ses meilleures vacances.
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En Guadeloupe, je ne veux plus être une touriste
Pour Coralie, la double culture s’accompagne d’un syndrome de l’imposteur : comment se sentir Guadeloupéenne alors qu’elle ne retrouve son île que pendant les vacances ?
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Retrouver la sauce italienne
Maeva a passé ses étés d’enfance dans sa famille, en Italie. Bons petits plats, chaleur méditerranéenne, discussions en italien… Tout ça lui a manqué les années où elle n’a pas pu y aller.
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Je parle cinq langues (pour l’instant)
Née au Congo, élevée au Maroc, passée par l’Espagne puis la France, Sarah s’est découvert une passion pour les langues.
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Les voyages, une histoire de famille
Blanche a toujours voyagé. Mais le voyage qui l’a vraiment changé, c’est celui qu’elle a fait seule, à 16 ans, en Irlande.