-
Près des siens, loin de soi
Le père de Berfin, kurde, a dû fuir la Turquie, où il risquait d’être incarcéré. Séparée pendant deux ans, la famille a finalement pu entamer une nouvelle vie à Marseille. Non sans difficultés.
-
Chaque nuit, je revis la guerre
Hassan est né dans un camp de réfugiés palestiniens en Irak. Il est venu en France avec sa famille à pied, traversant la guerre et les frontières. Depuis, il fait des terreurs nocturnes et revoit chaque nuit les horreurs qu’il a traversées.
-
Sous les bombes (poème)
La famille de Mohamed Khelifa a vécu la guerre d’Algérie, la décennie noire, l’exil. Des traumatismes qu’ils lui ont transmis.
-
Ma sœur et moi, ensemble dans l’exil
Le repère de Safya, c’est sa grande sœur. Ensemble, elles ont vécu le voyage vers la France, les nuits à la rue, et l’adaptation à un nouveau pays.
-
Guerre au Cameroun : un jour, le massacre a commencé
Anna a connu la terreur et la faim avant d’être recueillie en France. Elle ne sait pas si ses frères et sœurs, restés au pays, sont encore en vie.
-
Arriver en France et s’adapter, c’est compliqué
Matéi a quitté quasiment du jour au lendemain l’Espagne, son pays natal, pour la France. Il a vécu un vrai choc des cultures.
-
Delphine, c’est comme ma mère
En arrivant à Paris, Ousseni et Bassaro ont été recueillis par deux femmes qui ont changé le cours de leurs vies.
-
Sur la route, c’est ta vie qui est en jeu
Ils ont bravé les dangers du désert, de la Méditerranée, des passeurs et de la police. Cinq jeunes racontent leurs routes vers une vie meilleure.
-
Je ne sais pas si je reverrai ma mère
Loin du Mali et de sa famille, Sarabelle ressent le mal du pays. Tout lui rappelle d’où elle vient.
-
Caché sous une voiture pour venir ici
Burhanuddin a pris de très gros risques lorsqu’il a traversé deux continents pour fuir l’Afghanistan, et venir se réfugier en France.
-
En fuyant Daech, nous n’avons emporté que nos souvenirs
De Erbil à Lyon, Ledia et sa famille se sont échappées après l’invasion de l’Irak par l’État islamique.
-
24 heures dans ma vie de mineur isolé
Le quotidien de Fofana est minuté. Pour pouvoir manger, se doucher et dormir, il faut faire la queue : premier arrivé, premier servi.