-
Jamais tranquille
Oum Yaser l’a très vite constaté : pratiquer un sport en France quand on est une femme voilée est un parcours du combattant.
-
Obligée de croire en cachette
Il y a quelques mois, Aïcha a décidé de se convertir à l’islam. Pour sa famille kurde et alévie, c’est hors de question.
-
De fantôme invisible à monstre voilé
Depuis qu’elle porte le voile, Myriam a vu le comportement des gens changer. Tous les jours, elle subit les regards et les remarques.
-
Peur des regards sur mon voile
Fatou porte le voile à l’extérieur du lycée. Dès qu’elle croise un camarade ou un prof, elle se demande ce que l’on va penser d’elle.
-
Islamophobie à la cantine : j’ai été prise au sérieux
En demandant un plat sans porc, Sarah et ses amies ont subi des remarques sur leur religion. Révoltée, elle a décidé d’en parler.
-
Je désinstalle Twitter tous les deux mois
Caroline n’arrive pas à quitter Twitter, malgré les débats qui dérapent, les insultes et le harcèlement. Ce réseau, elle y est accro.
-
Oui, je suis française et je mange du couscous !
Le couscous est un art culinaire dont Leïla est fière. Pour elle, c’est aussi un héritage… Même si ça ne plait pas à l’extrême droite.
-
Fachosphère : l’islamophobie pollue les réseaux
Rayan a découvert l’islamophobie à 14 ans, en même temps que Twitter et les comptes anonymes d’extrême-droite déversant des propos haineux contre sa religion.
-
Porter le voile, la meilleure décision de ma vie
Après mûre réflexion, Nayla a décidé de porter le voile. Elle assume fièrement son choix, même si elle doit affronter les regards de travers.
-
L’islamophobie, c’est pas juste une ambiance, c’est ma vie
Agression islamophobe dans la rue, rejet professionnel, Amna raconte qu’elle ne se sent plus en sécurité et acceptée en France. Elle porte le voile, et témoigne du climat islamophobe qu’elle vit au quotidien.
-
Le voile, c’est ma couronne
Musulmane pratiquante, Fanta ne portait pas le voile, par peur des réactions. Un jour, elle a osé. Et ce fut le plus beau jour de sa vie.
-
En quittant ma ville, j’ai été confronté à l’islamophobie
À 14 ans, Kaza a vécu pour la première fois de l’islamophobie. Il ne se sent en sécurité que dans sa ville, et évite de la quitter trop souvent, pour éviter des regards ou des remarques.