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16 heures au KFC, 30 heures de cours
Pour pouvoir vivre et étudier à Paris, Louise travaille tous les week-ends dans l’odeur de friture et sous la pression de ses patrons. Au détriment de sa santé, son moral et sa vie sociale.
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Baby-sitter, j’économise pour m’acheter une voiture
Karima veut s’acheter une voiture, dès qu’elle aura le permis. Alors elle remplit, doucement mais sûrement, sa tirelire cochon en porcelaine.
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Mon job étudiant en vaut-il la peine ?
Margot travaille tous les week-ends en parallèle de ses études. Ce job l’éloigne de ses proches, et de la vie étudiante dont elle rêvait.
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Fan de foot, j’ai le job étudiant de mes rêves
Antoine a décroché le job étudiant de ses rêves : il est stadier pour le Stade rennais. Le soir de la victoire contre Arsenal, il s’est senti fier de porter le maillot de son club de cœur.
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Mes jobs étudiants, mon indépendance à tout prix
Pour être autonome, Solène a trouvé des jobs étudiants. Gagner de l’argent, au risque de passer à côté de ses projets d’avenir.
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VIDÉO – J’ai deux jobs pour payer mes études
Étudiante étrangère, Tandina est inscrite dans une école de commerce à 4 500 euros l’année. Ses jobs étudiants pour la financer ont un impact sur sa scolarité et sa santé.
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Pas de job, pas d’études en septembre
L’été dernier, Lucas a été licencié après quelques jours. Les aides alimentaires lui ont permis de survivre à son année d’études.
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Deux mois de fast-food pour une année d’études
Olivia travaille tous les étés dans le même fast-food : un job qui lui permet de financer ses études, en calculant tout au centime près.
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VIDÉO – Premier logement : je suis ma mère et mon père en même temps
Étudiant, Keme a choisi l’indépendance ! Logement, nourriture… c’est lui qui paie tout. Entre son job et ses cours, ça fait des grosses journées.
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Dans mon KFC, nos conditions de travail bafouées
Management de la terreur, harcèlement moral, gestion catastrophique de la crise sanitaire… Dans le KFC où Liane a travaillé, la direction avait pour habitude de piétiner les employé·es. Elle y est quand même restée deux ans.
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Sourire, se tenir droite et être sexualisée, c’est ça mon job ?
J’ai été hôtesse d’accueil pour des événements sportifs. Le jour où j’ai accueilli ce groupe de vingt supporters, tous des hommes, m’a dégoûtée du métier.
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Boursière échelon zéro, j’ai cumulé les jobs
Ma famille ne pouvait pas m’aider et je ne percevais que 100 euros de bourse. Alors j’ai travaillé pendant mes cinq ans d’études, et ça m’a forgée.