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Mineurs isolés, on partage la même chambre mais pas la même langue
Abou vit dans un hôtel social. Francophone, il vit avec un colocataire afghan qui ne parle que le farsi. La communication est compliquée.
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En prison, un jour passe comme dix
Accusé d’un vol qu’il nie avoir commis, Kafta attend son jugement dans le quartier pour mineurs d’une maison d’arrêt. Il vit la pire expérience de sa vie.
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Mineur isolé, je vis avec 29 euros par mois
Arrivé depuis peu en France, Alias vit dans un foyer avec des jeunes de son âge. Avec 29 euros d’argent de poche par mois, chaque euro compte.
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Ma minorité refusée, je vis grâce aux associations
De la Croix-Rouge aux Midis du MIE, Lama, mineur isolé de 17 ans, survit en France grâce à l’action de bénévoles de plusieurs associations. Ils et elles sont devenu·e·s comme une deuxième famille.
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Mineur isolé : je suis un garçon qui doit s’en sortir seul
Quand Raël s’est vu refuser son statut de mineur·e isolé·e, il a connu la rue, et les tentes prêtées par les associations.
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Mineur isolé : combien de preuves faudra-t-il au juge ?
À 17 ans, Bocar n’a pas été reconnu par la France comme mineur isolé. Après deux mois à la rue, il attend maintenant la décision d’un·e juge.
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Mineur isolé, je suis accompagné mais libre de rien
En tant que mineur isolé, Ibrahim relève de l’aide sociale à l’enfance (ASE). Une protection qui est aussi une privation de liberté.
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Migration : ma Play, c’est ma bouée
Zach est arrivé en France en 2020. Sur toute sa route depuis le Congo, jusqu’au refus de lui accorder le statut de mineur isolé, sa Play l’a accompagné.
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Mon pays en guerre, mon départ en solitaire
Grandir dans un pays en guerre et se faire enrôler n’était pas une option. Alors Mukhtar Mohamed a quitté la Somalie, sans prévenir personne.
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Pour travailler, mon père m’a mis dans un bus pour la France
Le père d’Anas a suivi les conseils d’un ami : envoyer un de ses fils en France pour trouver le travail et l’argent qui leur font défaut au Maroc. Comme Anas est le plus sérieux de la fratrie, c’est tombé sur lui…
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Malade, j’étais détesté par mon quartier
Les médecins ont posé le diagnostic : tuberculose. L’accès difficile aux soins et la stigmatisation n’ont pas laissé le choix à Mamadou : pour survivre, il a dû quitter la Guinée-Conakry.
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Apprendre le français, je l’ai fait !
Quand je suis arrivé en France, j’ai dû apprendre le français, et vite. Malgré l’aide des associations et formations que j’ai reçues, le chemin est encore long.