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Mon pays en guerre, mon départ en solitaire
Grandir dans un pays en guerre et se faire enrôler n’était pas une option. Alors Mukhtar Mohamed a quitté la Somalie, sans prévenir personne.
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Delphine, c’est comme ma mère
En arrivant à Paris, Ousseni et Bassaro ont été recueillis par deux femmes qui ont changé le cours de leurs vies.
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Mon arrivée en France : un parcours du combattant
Yacouba est arrivé seul de Côte d’Ivoire. Il a vécu à la rue. Même s’il a son passeport avec lui, il n’est pas sûr d’être reconnu mineur.
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Avoir du style, du Mali à Paris
Bakary a toujours fait attention à son style. Malgré le fait qu’il soit mineur isolé ici en France, pas question d’y renoncer.
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Dur de « dater » quand on est étranger
Au quotidien, Vetcho croise peu de filles. Construire une vie amoureuse quand on est un jeune homme étranger, il trouve cela difficile.
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Mineurs isolés, on partage la même chambre mais pas la même langue
Abou vit dans un hôtel social. Francophone, il vit avec un colocataire afghan qui ne parle que le farsi. La communication est compliquée.
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En prison, un jour passe comme dix
Accusé d’un vol qu’il nie avoir commis, Kafta attend son jugement dans le quartier pour mineurs d’une maison d’arrêt. Il vit la pire expérience de sa vie.
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Mineur isolé, je vis avec 29 euros par mois
Arrivé depuis peu en France, Alias vit dans un foyer avec des jeunes de son âge. Avec 29 euros d’argent de poche par mois, chaque euro compte.
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Ma minorité refusée, je vis grâce aux associations
De la Croix-Rouge aux Midis du MIE, Lama, mineur isolé de 17 ans, survit en France grâce à l’action de bénévoles de plusieurs associations. Ils et elles sont devenu·e·s comme une deuxième famille.
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Mineur isolé : je suis un garçon qui doit s’en sortir seul
Quand Raël s’est vu refuser son statut de mineur·e isolé·e, il a connu la rue, et les tentes prêtées par les associations.
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Mineur isolé : combien de preuves faudra-t-il au juge ?
À 17 ans, Bocar n’a pas été reconnu par la France comme mineur isolé. Après deux mois à la rue, il attend maintenant la décision d’un·e juge.
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Mineur isolé, je suis accompagné mais libre de rien
En tant que mineur isolé, Ibrahim relève de l’aide sociale à l’enfance (ASE). Une protection qui est aussi une privation de liberté.