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« Je pensais que j’étais juste bronzée »
Pas assez blanche pour sa famille, pas assez noire pour ses amis. Lilou peine à trouver sa place et à s’accepter.
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« Enfin à ma place »
Entre les regards, les moqueries et les mises à l’écart à caractère raciste, Souleymane a toujours dû prendre sur lui. Grâce au 77 à vélo, il a enfin trouvé sa « safe place ».
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Roumain avant d’être Malien
La mère d’Issa est roumaine. Son père est malien. Deux cultures entre lesquelles il ballote depuis son enfance.
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J’ai du mal à accepter ma peau foncée
Des films aux réseaux sociaux, Anne-Esther a longtemps subi l’idée qu’être belle, c’est être claire. Du moins pas trop noire, avec des cheveux lisses et un petit nez.
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Jeune militant dans une vieille asso
Le 15 octobre 1983 débutait la marche des Beurs. SOS Racisme est née dans son sillage. En 40 ans, l’image de l’association a évolué. En la rejoignant, Romain a surmonté ses réticences et s’est réconcilié avec le militantisme.
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Pas habitué à être le seul Blanc
Là où François a grandi, il y avait surtout des Blancs. Arrivé en région parisienne, il a découvert une diversité qu’il ne connaissait pas.
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L’équipe de France nous unit
En suivant les matchs de l’équipe de France, Otto comprend que le foot est un moyen de rapprocher ses potes de tous les milieux.
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Ma sœur, trop blanche pour ma grand-mère
À force de voir sa grand-mère juger la couleur de peau de sa sœur trop claire, Manon a fini par prendre sa défense.
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À la télé, enfin des mannequins qui me ressemblent
C’est en regardant une émission que Martha s’est passionnée pour la mode. Elle n’avait jamais vu de mannequins noires, ni de tenues africaines dans un défilé.
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Arrêtez de nous demander de choisir
Rim et Eline sont tiraillées depuis toujours entre deux pays. Leur double culture attise la curiosité, mais aussi les remarques déplacées.
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Du harcèlement en maternelle à la phobie scolaire
En se liant d’amitié avec une enfant noire, Sunny a été prise pour cible par ses camarades blancs et la directrice de son école maternelle. Elle souffre depuis de phobie scolaire.
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Islamophobie à la cantine : j’ai été prise au sérieux
En demandant un plat sans porc, Sarah et ses amies ont subi des remarques sur leur religion. Révoltée, elle a décidé d’en parler.